L’erreur
18 octobre 2008
M. Lapointe,
Même la France s'anglicise. On est informé de la chose de partout incluant de Mme Bombardier qui le mentionne dans sa chronique du Devoir de ce matin.
La langue française et plusieurs autres langues importantes dans le monde, le français, l’espagnol, le portuguais, les langues chinoises, japonaises, arabes, indiennes etc… vont finir comme langues culturelles avec la langue anglaise, langue des affaires et des communications internationales, ce qui est déjà presque complété.
Plusieurs pays de la francophonie ne parlent même pas ou plus français. C'est bien beau la résistance mais on ne peut pas sa vie sur les freins comme certains de nos indépendantistes qui ne veulent même pas que les Québécois apprennent convenablement l'anglais afin de protéger le français même si ça réduit leurs chances d’obtenir de meilleurs emplois.
Tant qu'à l'affaire Sarkozy, on devrait faire un bout de chemin entre le fédéralisme centralisateur actuel et le séparatisme, une vraie confédération canadienne...point. Ça devrait déjà être assez difficile à réaliser ce compromis réalisable qui est quand même mieux qu'une utopie, vu qu'il n'y a pas un nombre suffisant de Québécois, à tort ou à raison, à vouloir se séparer du ROC pour que la chose se passe dans l'harmonie et les bonnes conditions économiques pour nos francophones du Québec.
À passer sa vie à trop forcer, ça devient forçant à la fin. On devrai forcer modérément sauf pour ceux que le forçage intéresse qui peuvent remplacer ça par les poids et altères. À la place, le Québec pourrait commencer tout de suite à protéger le français sur son territoire en l’enseignant mieux, en exigeant le français au travail dans les petites entreprises et en francisant tous les CEGEPs. Il a le pouvoir d'en faire pas mal dès maintenant sans demander la permission.