Québec souverain: dictature ou nouvelle démocratie?
25 octobre 2008
Victime de crimes, je ne peux pas demander réparation, car il est impossible de réparer ce qui a été détruit. Il est des blessures à l'âme et au corps qui ne se cicatriseront jamais. Il y a des morts qu'on ne peut ressuciter.
Le plus important c'est d'empêcher les criminels de récidiver. Car il faut pencher vers le futur.
Cependant, collectivement, nous pouvons venir en aide aux victimes d'actes de violence. Nous pouvons secourir la victime, l'aider, même si ce n'est pas nous, le coupable. Je crois que la société a une certaine responsabilité d'aider les victimes. De toutes façons, la plupart des criminels n'ont pas les ressources (financières, organisationelles, morales, etc.) pour le faire, même s'ils le voulaient. De plus, quand elle comunique avec l'auteur du crime, la victime se trouve victimisée à nouveau. La victime a le droit de ne rien vouloir savoir du criminel, de ne pas lui parler, et d'être protégée de tout contact avec lui.