Lettre aux membres et sympathisants du Parti Québécois
29 novembre 2008
À madame Lachance-
Si vous croyez que Jean Charest qui a déclaré à Paris que le Québec peut se donner l'indépendance et qu'il en a les moyens¨ a vraiment l'intention de le faire, ce dont je doute, il y aurait alors comme vous le dites ressemblance entre les deux adversaires sur ce point. Mais nous savons tous qu'il se contredit en faisant une campagne de chantage contre un espèce de King Kong imaginaire menaçant de l'indépendance. Il a chié sur le bascul et tire maintenant à reculons sur les méchants séparatists - mot d'origine anglaise signifiant patritote aux USA depuis 1776 - et ici aussi depuis 1959. Quand vous dites qu'il n'y a pas de différence entre le PQ et les libéraux, je crois que vous fabulez de manière partisane.
À monsieur Vézeau,
Enfin un premier critique acerbe du PQ et de madame Marois qui ose donner son point de vue sur la politique linguistique d'un Québec souverain. Votre position est intelligente et même rafraichissante. Quand on lit tous les textes anti-PQ et anti-Marois de Vigile, qui sans se compromettre d'une opinion personnelle sur le sujet parce qu'on s'en prend surtout aux personnes, font oeuvre de division, on se demande si on a affaire à des fédérastes ou à des fans idéologiques qui sacrifient le projet de pays de la nation Québécoise à leurs caprices intellectuelles.
En matière de politique linguistique, selon moi, vous dites la même chose que le PQ qui a fait du français la langue officielle du Québec au grand dam de Jean Charest qui se cherche une identité en cachant les rapports de l'Office le la langue française.
Le bilinguisme est un terme qu'il faut remplacer par POLYGLOTTISME, non seulement pour relativiser l'influence anglo-américaine à nos portes mais surtout pour développer une culture et une communication plus étendue et plus universelle, et ce après une excellente connaissance du français par tous. Le chinois, l'espagnol, l'allemand, le russe etc sont enseignés dans les lycées européens depuis 1900 et avec les méthodes préconisées par le PQ au Québec. Je les connais ces méthodes, mes enfants les ont expérimenté avec succès.. En 5 ans de cours les élèves connaissent et parlent en se débrouillant, surtout l,anglais mais aussi d'autres langues en Europe.. À la fin du secondaire ou après on peut prendre une math en anglais , comme ce fut mon cas, sans attrapper le typhus. On peut laisser la liberté de choix ldes langues auxux enfants et aux parents au secondaire bien sûr car l'économie de temps et d'argent occasionnés par l,approche Marois permet d'enseigner d'autres langues.
Quant à la déclaration de madame Marois, un peu approximative et amplifiées par le tandem fédéraliste Gesca-Radio-Canada avec leur contrat secret, média que vous semblez croire sur parole, elle a été précisée et l'histoire n'était pas le meilleur choix ici. J''ai suivi un cours d'histoire constitutionnelle de UK en anglais au collège cependant. ce qui convient mieux.
Bonne chance à monsieur Lepage qui compte faire l'indépendance en divisant le vote. Je lui souhaite avec le PI, de progresser de .6% aux complémentaires à .65% le 8 décembre. Moi je suis un con qui milite depuis 1960 et j'accepte que la liberté de la charte des droits de la personne permette même l'erreur de militer maladroitement pour le pays en faisant de faux pas. Sur l'essentiel je crois que nous visons le même objectif et Power-Gesca-R-C tentent de nous 'opposer dans leurs reportages et ça réussit à semer la division chez les faibles et les émotifs qui croit à la fin du monde demain matin. Il a fallu 1600 ans à la Hollande pour être finalement reconnue comme pays indépendant par l'Allemagne, nous pourrions bien accorder au PQ et à madame Marois 5 à 6 ans si nécessaire.