On gage-tu, pour le fun ?... Que le PQ va la faire, l’Indépendance ?
13 juin 2009
Bonjour
Robert Stevenson Smyth Baden-Powel (1857-1941) :
« L'optimisme est une forme de courage qui donne confiance aux êtres et mène au succès. »
Salutations
Charles-Philippe Courtois
Éditions Trois-Pistoles
Souper conférence de l'Action Nationale
Lion d'Or, 18h
Patrick Bourgeois
Léo Beaudoin, Renée Blanchet et Denis Monière
Jeudis de la langue - 19h
Conférence de Mario Beaulieu
Moulin à paroles
Dernière lettre de Chevalier de Lorimier
Texte de Pierre Bourgault
13 juin 2009
Bonjour
Robert Stevenson Smyth Baden-Powel (1857-1941) :
« L'optimisme est une forme de courage qui donne confiance aux êtres et mène au succès. »
Salutations
13 juin 2009
Les pouvoirs politiques, économiques et électoraux en place n'ont pas du tout intérêt à faire le travail d'éducation politique faire connaître à la population les très importants et déterminants pouvoirs démocratiques et légaux issus de la rue ou de l'initiative populaire, puisque cela pourrait limiter ou contredire le leur.
Pourtant nombre d'avancements et de progrès sociaux et politiques ont été acquis par la militance et même l'initiative personnelle et citoyenne.
Ne pensons qu'au droit à l'avortement par les groupes féministes et le docteur Henry Mogan Taylor, à l'échec du déménagement du Casino dans le quartier défavorisé de Pointe Saint-Charles, ou encore, au référendum d'initiative populaire comme certains le propose actuellement.
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Christian Montmarquette
Membre et militant de Québec Solidaire
« La Révolution démocratique »
Vigile sous la tente devant l’Assemblée nationale
.
13 juin 2009
«Il me semble bien que le parti Québécois refuse de prendre acte des erreurs — et des bons coups — du passé», dites-vous...
Surtout des erreurs. LE PQ n'a jamais admis qu'il nous avait fait voter deux fois pour refondre le pays et non pour en faire un nouveau.
Tant et aussi longtemps que ce FAIT ne sera pas admis, ce parti serait toujours sous surveillance et animera la suspicion.
NT
12 juin 2009
Michael Ignatieff n'a rien de plus à offrir au Québec que ses prédécesseurs. En fait, il est l'héritier du PLC que nous avons connu sous Trudeau, Chrétien, Martin et Dion, c'est-à-dire un parti fédéraliste prêt à abandonner le Québec à la première occasion. Son absence lors du vote pour le respect de la loi 101 dans les entreprises québécoises sous juridiction fédérale est un bel exemple de ce à quoi nous aurons droit s'il devient premier ministre. Je vous invite à regarder cette vidéo qui en dit long sur Ignatieff:
http://www.youtube.com/watch?v=U2VBsQSXe_Q
12 juin 2009
À Gébé Tremblay
«Nul ne peut prétendre que Québec Solidaire n’est déjà pas un parti souverainiste»
Le PQ cherche a essayé de faire la souveraineté «par en haut» avec des tractations au sommet comme l'entente PQ-BQ-ADQ de 1995 et la «négociations d'une nouvelle entente» de 1980.
Il tente aujourd'hui de la faire «par la bande»en adoptant une orientation autonomiste avec la prétendue «gouvernance souverainiste» et les éventuels référendums sectoriels.
Québec Solidaire propose de faire l'indépendance «par la base»«en mobilisant la population» sur un projet défini démocratiquement ; d'où l'assemblée constituante autour de l'idée que «Un autre Québec est possible» et que la souveraineté doit servir à «changer la société» et non simplement à rapatrier des pouvoirs d'Ottawa vers Québec pour continuer à faire la même chose et qu'on a maintes fois appelé la «souveraineté coquille-vide» du PQ.
Si le PQ a perdu ses deux référendums, c'est à cause d'une fort vicieuse lacune de mobilisaition et de l'échec prévisible de sa stratégie du «pays comme les autres» et des tractations au sommet, pendant que la population reste «passive» ou en attente d'un sauveur.
Si ce n'est pas encore clair que QS représente l'alternative rationnelle pour les souverainistes et les indépendantistes, (sauf les racistes et les revanchards du PI)l'adoption de la première section du programme de cet automne devrait régler la question.
Je vous laisse ne lien la position actuelle de Québec Solidaire sur la question nationale.
Mais nul ne pourra prétendre, tel que le fait le PI que Québec Solidaire n’est d'ores et déjà un parti souverainiste, à moins d’être soit démagogue, soit très mal informé ou de très mauvaise foi.
«La liberté ne procède pas de la seule ratification d’une entente constitutionnelle intervenue entre deux États, mais de la lutte pour la libération du peuple de la violence économique et de la prison de la pauvreté»
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Christian Montmarquette
Membre de Québec solidaire
Militant pour l'éradication de la pauvreté et l'indépendance du Québec
Courriel : chmontmarquette@yahoo.fr
Références :
7.1 RÉALISATION DE LA SOUVERAINETÉ
Voir l'article 7 du programme au lien ci-dessous :
ENGAGEMENTS 2008 DE QUÉBEC SOLIDAIRE
Vive le Québec libre... Quelle liberté ?
QS
12 juin 2009
Bonjour !
Il y a très peu de québécois qui ont entendu le discours du rigalogue papi Parizeau.Il n’a pas grande influence.Sur 14 autres forums nationalistes/indépendantistes,il ne suscite pas de fièvre comme sur Vigile,le seul lieu où il est encore une star.
Le 24 juin 2009,M.Duceppe va faire sa dernière parade sur l’île de Montréal.En 2012,Charest va laisser son poste de PM à Mme Normandeau,une belle vierge politique fort populaire.À la prochaine élection,2013,nous allons assister à un derby de démolition de Mme Marois,facile à faire.Si elle n’a pas pris sa retraite.Les préparatifs sont déjà commencés dans les bureaux de Desmarais Power Corporation.
L’élection d’un ordre de gouvernement ça se gagne avec des gros moyens financiers,des belles promesses nationales et régionales et une bonne agence pour les clips...pas avec des idées et un programme que beaucoup d’électeurs ne lisent pas.
En 2013,le PQ ne pourra pas compter sur le «ras-le-bolle»anti-Charest pour gagner.
12 juin 2009
« Peut-on, sans fréquenter l’anglais, vivre aujourd’hui sur notre planète en y étant convenablement informé ? »(Mario Roy)
Biensûr que oui ! Mais pas au Québec !
Le problème au Québec ce sont ces médias corrompus qui dominent toute l'espace ! La Presse en tête !
Il m'arrive de lire vos chroniques sur Cyberpresse (je m'abonnerai jamais) juste pour me rappeller à quel point vous êtes endoctriné et ignorant. Si vous lisez l'anglais, il ne vous sert à l'évidence pas à grand chose, car en effet on s'y informe très bien lorsqu'on est pas borné et abruti!
Je m'informe mieux dans des journeaux francophones africains que sur La Presse !
Biensûr qu'on s'informe mieux dans les journeaux anglais du reste du monde. Mais pas dans ceux du Canada !
Voilà ce à quoi seul vous servez, M. Roy, la francisation de la propagande abrutissante et endoctrinée du régime Canadien anglais. Alors cessez vos discours sur la mondialisation et l'ouverture sur le monde ! Vous avez le cerveau enfermé dans une cage canadienne anglaise.
Vous êtes un provincial colonisé !
C'est vous le problème au Québec ! Pas l'anglais, ni Harel, ni le français et certainement pas les Québécois que vous insultez ainsi!
Jusqu'où certains des nôtres sont prêts à s'abaisser pour un p'tit cachet de chroniqueur !
Vous faîtes honte au Québec.
12 juin 2009
En fait, une crise ne favorise pas l'indépendance du Québec.
M. Parizeau observe avec raison que les crises font augmenter l'appui à l'indépendance et c'est pourquoi il faudrait provoquer des crises. Or, M. Parizeau observe aussi que ces crises n'arrivent pas toujours au bon moment et qu'il y a quelque-chose que le PQ ne fait pas comme il faudrait.
Observations justes. Parizeau nous fait réfléchir.
Donc, la logique nous dit que le problème du PQ est qu'il provoque les crises aux mauvais moments.
Personnellement, je crois plutôt que le PQ provoque les crises au mauvais endroit. La crise actuelle le prouve. Le PQ propose des actions futures à Ottawa et provoque immédiatement la crise au Québec. L'endroit détermine le moment.
C'est donc au Québec que le PQ doit proposer des actions futures afin de provoquer des crises futures à Ottawa.
De plus, les crises ne font pas augmenter l'appui à l'indépendance. Elles font diminuer la pression du contrôle social fédéral sur le nationalisme implicite des Canadiens français qui alors s'éveille. C'est pourquoi, la crise passée, le contrôle social fédéral reprend toute sa place et le nationalisme est une fois de plus refoulé. L'appui redescent.
Les actions doivent se faire ici-même au Québec, contre le contrôle social fédéral au Québec, qui alors provoqueront la crise à Ottawa. Le contrôle social ainsi affaiblit par l'action assure le maintient de l'augmentation de l'appui après la crise.
12 juin 2009
2) Qu’un gouvernement du PQ, élabore une constitution québécoise qui déclare que désormais ; la langue, la culture et l’immigration sont exercés uniquement par l’état québécois.(Denis Julien de Lotbinière)
Les déclarations et chartes ne nous mèneront nulle-part. Ce sont des actions qu'il faut.
Ce que le PQ n'a jamais fait au pouvoir mais devrait faire c'est précisément exercer la culture, la langue, l'histoire, et donc l'éducation nationale.
On ne défend pas une langue par une charte, mais en l'exercant, en lui donnant tous les moyens et privilèges pour sa créativité.
C'est sur ce terrain, au Québec, que le PQ doit confronter activement et concrètement l'ingérance du fédéral. Toutes les ressources nécessaires doivent être déployées à contredire le discours fédéral multiculturel au Québec. La crise doit se faire ICI, pas à Ottawa.
Le PQ au pouvoir ne fait rien de celà. Pire, il collabore au contrôle social pour l'imposition de l'idéologie multiculturaliste pluraliste. La dénationalisation.
Les demandes à Ottawa et les référendums sectoriels seront des diversions afin que se poursuive cette dénationalisation ici dans et par nos institutions.
Désolé, M. Montmarquette, mais tout ce que je vois chez Québec Solidaire et dont le récent discours de Françoise David aux IPSO m'a confirmé, est que son seul but pour un État indépendant est de simplement remplacer le contrôle social multiculturaliste libéral actuel par son propre controle social multiculturaliste socialiste.
12 juin 2009
À quoi donc une telle nation peut-elle valablement prétendre si elle ne contrôle aucun territoire, où elle pourrait faire toutes les lois nécessaires à assurer sa survie, son progrès, son développement et son avenir, ainsi que le progrès, le développement et l’avenir des personnes d’autres origines que la sienne qui habitent désormais son territoire ? Que serait le peuple Juif sans l’état d’Israel ?(Gaston Boivin)
M. Boivin, proposez vous que les juifs, après 2,000 ans sans pays, seraient disparus sans la création d'Israel il y a seulement 60 ans ? Croyez vous vraiment que le "peuple juif" en Israel "assure le développement et l’avenir des personnes d’autres origines que la sienne qui habitent désormais son territoire" ? Est-ce que le "peuple juif" se dit "Peuple israélien" ?
Pourquoi devrions-nous disparraître sans territoire, si d'autres l'ont fait pendant 2,000 ans ? Savez-vous que la majorité des juifs sont à l'extérieur d'Israel ? Pourquoi le peuple Canadien français devrait se dire Québécois une fois le Québec indépendant ?
Les juifs ne se sont jamais reniés et ont toujours servit leurs intérêts. Pas ceux des autres. C'est pourquoi ils sont toujours là.
"Canadien-Français, élévé par les Iroquois, ballotté de pirates en soldats, le chevalier de Beauchêne, dont René louis Lesage dresse un portrait picaresque, est un aventurier sympathique que les hasards de la guerre poussent dans le camp des flibustiers."(Gaston Boivin)
Nous savons tous ce que les Américains, Britanniques, et autres peuples fièrs produisent artistiquement (cinéma, livres, musique, etc...) pour de tels personnages de leurs histoires nationales. Ils s'empressent de les célébrer et d'en faire des exemples dans leurs écoles ainsi que des oeuvres historiques pour le reste du monde.
Faire le pays, ce n'est pas que politique et juridique. Pas qu'une affaire de territoire.
Le peuple juif a survécu pendant tout ce temps sans territoire, car son pays était dans son art, sa littérature, sa religion, son histoire, ses mythes, qui sont toujours transmit avec la plus grande créativité à ses enfants, dans ses écoles.
Quand je vote pour le PQ, je m'attend à cette créativité. Pas à un référendum ou demandes à Ottawa.
12 juin 2009
Très Chère Andrée Ferretti,
Quelle bonne synthèse d'une logique implaccable avec une très bonne lecture du chemin parcouru depuis les cinquante dernières années et des perspectives d'avenir basées sur une vérité:
La souveraineté viendra ultimement de l'éducation politique du peuple qui l'exigera et non des voeux pieux d'un parti politique qui néglige l'éducation politique du peuple pour des priorités de prise du pouvoir.
12 juin 2009
M. Thompson,
Je vous ai connu plus posé et moins enclin aux néologismes colorés.( p’tit mon’oncle provincialo-nationaleux-Canado-Québécois lèche-bottes) Pour moi cela signifie que, à l’instar de nombreux Québécois, vous êtes atteint d’une maladie de plus en plus courante, l’écoeurantite aigüe politique. Quelques grenouilles de bénitiers que je n’ai pas à nommer tellement c’est évident, m’ont accusé d’être un mange P.Q. et autres petites gentillesses du genre. C’est que moi aussi, je souffre de cette maladie qui vous accable et quand je vois les Ali Baba Charest de ce monde mentir, désinformer à ce point, ça me révolte. De ce « p’tit mon’oncle provincialo-nationaleux-Canado-Québécois lèche-bottes » comme vous dites, on attend rien d’autres, c’est tout ce qu’il peut faire, mentir, déformer, jouer les vierges offensées mais ce qui est encore plus choquant c’est de voir Mme. Marois qui ne prend pas la peine de défendre le fond des dires de M. Parizeau. Charest n’a que pris certaines paroles, hors contexte et a érigé encore une fois un montage de mauvaise foi que le P.Q., si cher à certain, n’a pas eu le courage de rectifier et de défendre. Avant de critiquer M. Parizeau, lisez attentivement son discour, pas celui rapporté par le PLQ mais le vrai, et dans son contexte.
Je fais partie de ceux, nombreux, qui depuis très longtemps ont milité pour le P.Q., même avant le MSA et qui en sont sortis, qui l’ont quitté, déchirés entre la conviction de la nécessité de l’indépendance politique du Québec et un P.Q. supposé prôner cette option mais qui s’engonce dans de la petite politicaillerie provinciale et réductrice, Mme. Marois en est l’illustration la plus probante.
Devant cette caricature de politicien véreux qu’est John Charest, M. Thompson est outré, moi aussi et plein de monde aussi. Que peut-on faire ? S’unir ?... mais pas derrière un fantôme. Cela nous prend un leader, un chef mais où est cette perle rare ?
Ivan Parent
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