Vigile au ralenti
29 juin 2009
Bonjour M.Frappier
Je vous souhaite bonne santé,un retour en forme,un bel été et beaucoup d'amour de votre famille.
Jean Paul Tellier,papi cardiaque bien aimé
According to linguists, Quebec might be better suited to statehood, writes Tony Atherton.
youtube.com
"Le Canada, il marche assez bien, oui, il y de petites affaires à régler, mais pas besoin de tout réouvrir et de tout donner juste pour apaiser les gens."
Roméo Dallaire
Jean-Philippe Pineault - opinons@canoe.com
29 juin 2009
Bonjour M.Frappier
Je vous souhaite bonne santé,un retour en forme,un bel été et beaucoup d'amour de votre famille.
Jean Paul Tellier,papi cardiaque bien aimé
29 juin 2009
Grand-papa écrit : «Courage : Force de caractère qui fait supporter la souffrance ou braver le danger.»
C'est beau mais ce n'est toujours utile. Faudrait demander aux Palestiniens si, dans leur cas, ça suffit jusqu'à maintenant.
C'est ceux qui, les yeux fermés, foncent dans les murs durs qui sont déprimants, faudrait les ouvrir de temps en temps.
29 juin 2009
Bon rétablissement M. Frappier. Revenez-nous en santé et prêt à continuer le combat pour notre libération.
Guy Le Sieur
Vive la République de l'Amérique française
29 juin 2009
Pour aider Gesca La Presse a disparaitre il faudrait que les souverainistes sortent de leurs confusions stratégiques et arrêtent de nourrir la bête qui est leur pire ennemie:
http://www.vigile.net/Arretons-de-nourrir-la-bete-Gesca
JCPomerleau
29 juin 2009
Bonjour
CLEMENCEAU, Georges
Homme politique français (1841-1929):
<< Il faut savoir ce que l’on veut. Quand on le sait, il faut avoir le courage de le dire. Quand on le dit, il faut avoir le courage de le faire. >>
Définitions:
Courage: Force de caractère qui fait supporter la souffrance ou braver le danger.
Persévérer: Demeurer dans la même résolution.
Ces deux mots sont-ils inconnus sur ce site ? Les contenus des commentaires sont souvent déprimants.
29 juin 2009
À Me Pierre Cloutier qui écrit «Comment voulez-vous que la population se prononce sur un projet de pays quand on n’a pas le courage minimal de lui présenter ? Expliquez-moi cela. »
S'il ne serait plus du courage de parler d'un projet de pays mais un plaisir de le faire, l'affaire serait dans le sac mais, en attendant, à tort ou à raison, trop de Québécois "les fédéralistes" ont encore peur de ça "l'indépendance ou la souveraineté sans aucune forme d'association avec le ROC".
Environ 45 % seraient d'accord à former un pays indépendant avec le Québec mais ça se divise entre le PQ à 37,5 %, Québec solidaire à 7 % et le PI à 0,5 % sans compter ceux qui aiment mieux s'abstenir en aidant aux fédéralistes.
Votre idée de parler de souveraineté du pays avec confiance et détermination de la réaliser, le PI et son candidat de prestige,
son chef, M. Tremblay, pas n'importe qui, le fait à temps plein sauf qu'il a mangé toute une claque comme candidat dans Rivière-du-Loup lors de la récente élection complémentaire avec moins de 1 % des votes exprimés. Même chose pour le volubile VLB, indéopendan tiste sans peur et sans reproche, qui n'a pas l'excuse qu'il n'était pas du comté ni un inconnu, au contraire.
Faudrait peut-être en tirer une petite conclusion.
29 juin 2009
Non, je n'y ai pas vu que du feu. Non, elle n'a pas eu un discours comme je l'aurais aimé, Non, je ne sais pas si elle est indépendantiste ou non mais je suis certains qu'elle n'est pas fédéraliste à tout prix. Mais peu importe, ce n'est pas en s'en prenant à des gens qui sont près de nous que nous allons convaincre le peu qu'il nous manque pour réussir notre but.
Il y a l'ennemi clairement identifé devant nous, il est plus gros, plus fort et il a plus de moyen. Mais c'est avec lui qu'il faut se battre.
Après la division des canadiens français et des québécois, il y a longtemps, on croyait bien qu'avec une majorité de francophone dans le Québec on aurait notre victoire mais il y a eu la division des québécois souverainistes et fédéralistes. Aujourd'hui, alors que les souverainstes sont finalement à la porte de la majorité.....et bien voilà que nous commençons à nous diviser entre souverainistes convaincus et les ''mous''. C'est quoi après ?
Notre stratégie stagne, elle ne fonctionne plus en ce Québec de 2009, il faut aller plus loin, il faut innover, il faut s'adapter, il faut convaincre des jeunes, des allophones, des gens qui ne votent habituellement pas, il faut se dépasser, il faut montrer le chemin de la liberté collective et de l'indépendance mais il faut surtout cesser de s'entre tuer, de s'entre déchirer gratuitement. Mais aussi, il faut prendre toute la place et ne pas laisser le chemin libre à nos ennemis de s'approprier ces gens ambivalents ou moins convaincus...surtout pas !
On veut gagner ou se diviser constamment ?
29 juin 2009
Gazprom continue d'investir malgré l'état de l'économie, probablement dans des projets plus intéressants que Rabaska... comme l'a affirmé le chef Miller quand il a annoncé son refus de participation dans le terminal. Récemment Gazprom a pris entente avec Shell pour une entrée aux Etats-Unis, donc l'Amérique du Nord, via le Mexique.
Et le 26 juin, France 24 nous apprend que Gazprom est prêt à investir un milliard de dollars en Afrique; d'autres raisons s'ajoutent sûrement à la crise économique pour que Gazprom n'investisse pas dans Rabaska. Il faut aussi savoir que Gazprom prend toujours 51% des parts des projets dans lesquels il investit.... Rabaska lui en offrait 27%...
Voici la référence de France 24:
"Le géant gazier russe Gazprom a signé un accord d'un milliard de dollars (711 millions d'euros) avec la compagnie publique namibienne Namcor pour construire une centrale électrique au gaz, a indiqué vendredi l'entreprise russe.
Selon les termes de l'accord, la Russie construira une centrale électrique pour la Namibie et l'Afrique du Sud, qui lui permettrait d'avoir accès au gisement gazier offshore de Koudou,........."
Voilà donc un autre gisement offshore dont Gazprom pourra profiter....
Quant aux familles dont vous parlez, vous avez tout à fait raison, nous en avons haut le coeur de ce fichu projet qui hante nos vies depuis 5 ans. Quand pourrons-nous vivre l'esprit transquille?
29 juin 2009
Les pires ennemis de l'indépendance nationale du Québec, ce sont les députés péquistes et bloquistes, et leur entourage, qui recoivent toutes et tous un salaire , des avantages sociaux, des privilèges, des honneurs, de la gloire, de la reconnaissance, des voyages etc...Tous ces gens et leur entourage constituent tous des petites PME payantes à tous les niveaux.
Alors pour se faire élire et réélire, ils diluent le produit et ont peur d'avoir peur de faire peur à l'électorat pour ne pas perdre leur gagne-pain. Ils parlent des 2 coins de la bouche dans les 4 coins du comté et se réfugient dans la souveraineté fantasme, la souveraineté virtuelle et la souveraineté blabla.
Le PQ a perdu les 3 dernières élections. En 2003, le thème de l'élection était un thème provincial : la conciliation famille-travail. Landry a eu peur de Parizeau et il a perdu son débat avec Charest à cause de cela.
En juin 2005, après la Saison des idées, le Congrès du PQ a exigé que l'on prépare et que l'on présente à l'électorat un projet de pays, accompagné d'un budget d'un Québec souverain et qu'on en fasse le thème de l'élection.
Le tout devait être suivi d'un référendum rapide dès la prise du pouvoir.
Le PQBoisclair n'a pas respecté cela. Il n'a pas préparé de projet de pays, ni de budget et il n'en pas fait le thème de l'élection. En lieu et place, le PQBoisclair a présenté à l'électorat une petite feuille de route provinciale. On connait le résultat.
le PQMarois a fait pire. Il a non seulement jeté le projet de pays aux poubelles, mais également l'article 1 et le référendum. Sans tenir de congrès et en violant le programme et les statuts, le PQ est devenu sous Marois, un parti autonomiste.
C'est cela la réalité. Et tout cela a été décidé en haut lieu dans l'entourage du chef et par le caucus des députés, pour des raisons électoralistes. Pour se faire élire et garder leur job.
C'est triste à dire, mais c'est cela la réalité.
Pour faire l'indépendance, il faut des gens décidés comme le fut Jacques Parizeau.
Malheureusement, ce n'est pas le cas.
Comment voulez-vous que la population se prononce sur un projet de pays quand on n'a pas le courage minimal de lui présenter? Expliquez-moi cela.
Pierre Cloutier
29 juin 2009
M. Haché, vous écrivez que le peuple québécois n’est pas un peuple de peureux mais vous ajoutez : «Lorsque Mme Marois a fait allusion aux « turbulences » inhérentes au passage à la souveraineté, bien des souverainistes se sont soudainement retrouvés discrètement du même côté que Charest ». Il y a une petite contradiction ici, me semble.
Je suis d’accord pour ne pas qualifier le peuple québécois de peureux, disons qu’il est pas mal prudent, à tort ou à raison.
S’il faut cacher les turbulences qui pourraient venir, suite à la souveraineté du Québec afin de ne pas lui faire peur, quand il va les recevoir, comment est-ce qu’il va réagir ? Un référendum pour se re-fédérer ?
Faut être convaincu et être fait fort pour se séparer sans se confédérer dans la paix négociée, la plus grande possible.
29 juin 2009
@ Monsieur Verrier:
Je suis tout à fait d'accord avec vos propositions. C'est dans cette direction qu'il faut aller.
@ Monsieur Sénéchal:
Merci de votre compte-rendu pimenté de vos opinions. Fort intéressant!
28 juin 2009
Monsieur Quilliam,
Si je dénonce le discours de Suzanne Clément, qui aurait été rédigé par Sylvie Rémillard, semble-t-il, c'est que ce discours est tout le contraire d'un discours indépendantiste. C'est un discours très fédéraliste, mais aussi plutôt habile puisqu'il arrive à berner bien des gens. Depuis les déboires de son premier mandat, Jean Charest s'est montré très habile dans la récupération de la fierté et du sentiment nationaliste des Québécois. Il vient de nous en donner un autre bel exemple; ce discours n'est pas tombé des nues.
Le principal argument des fédéralistes inconditionnels est justement que le Québec peut tout faire sans la souveraineté, comme le prouveraient selon eux les réussites du Québec et surtout, les réussites de certains Québécois. On nous dit: «ayez de l'ambition (personnelle avant tout), mais ne changez surtout rien, parce que nous habitons déjà le «meilleur pays du monde». («Nous sommes déjà "révolutionnés".»)
Si je ne m'abuse, Mme Clément ne s'est jamais affichée comme une indépendantiste. Je ne serais pas surpris qu'elle soit plutôt le contraire. Si je fais erreur, elle nous expliquera peut-être un jour où se trouvaient les arguments indépendantistes dans son discours. Je n'en ai pas entendu, et la plupart des lecteurs de Vigile non plus. En attendant les explications de Mme Clément, vous pourriez nous donner les vôtres. Toutefois, j'ai plutôt tendance à croire que vous n'y avez vu que du feu.
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