Race, ethnie et nation, voilà la question !
25 juillet 2009
Monsieur Jean-François,
Merci de si bien vulgariser mon intervention parue ci-haut.
"Récemment encore, des Algériennes et Algériens ont revendiqué leur québécosité avec force et persuasion; ils ont intervenu pendant la commission Bouchard pour clamer leur appartenance à cette société sans pour autant renier leurs origines"
Communiqué
www.uncampement.com
Les Québécois sont-ils vraiment intéressés à recevoir des gens venus d’ailleurs, quels qu’ils soient?
Soros, parrain d'Obama
Le capitalisme au service du communisme
"La Chine a tenu parole, elle a remis le Français au goût des Jeux Olympiques !"
par Belzébuth
Extrait vidéo - 42 min.
25 juillet 2009
Monsieur Jean-François,
Merci de si bien vulgariser mon intervention parue ci-haut.
25 juillet 2009
Il y a une mauvaise compréhension entre l'anglais usé en France et celui au Québec. La difficulté pour le Québecois est de ne pas être tenté de parler en anglais. Il est courant qu'ils aient du mal à trouver le mot en français pour un objet alors qu'il existe. On parle aussi en anglais par facilité vis à vis de son interlocuteur, surtout dans le commerce. Parfois, certaines conversations se font en anglais alors que les deux personnes pourraient parler français. En France, ce problème n'existe pas. On peut approuver ou déplorer que les Français intégrent des mots anglais dans leur langue mais ce n'est pas la même problèmatique que pour le Québecois.
25 juillet 2009
M. Archambeault, avez-vous lu Jean-Marie Tremblay et tout ce qui concerne la désintégration des régions.
Toute la question de québécois vs canadien-francais vient des gens qui gravite autour de lui. Exemple. Russell Bouchard, Richard Harper etc.
25 juillet 2009
Réponse à Grand-papa, pris sur Internet :
(suite à ma rencontre avec Keiller, cet après-midi) … Il m’a apporté une façon intéressante de voir les races : Sans en faire une loi, il me disait que, d’une façon générale, les asiatiques réagissent principalement avec la tête et le corps, les caucasiens, avec la tête et le cœur, et les noirs, avec le corps et le cœur. Peut-être faux, mais c’est une façon intéressante de voir les trois grandes cultures.
par François Brooks Ce n'est pas plus qu'un point de vue d'un observateur qui indique qu'il y a peu de choses qui font la différence entre les humains...à la base.
25 juillet 2009
@ Éric Duhaime.
Premièrement je ne suis pas un nationaliste, je me défini plutôt comme un patriote qui a à coeur les intérêts supérieurs du Québec. Et à cet égard il ne me viendrait pas à l'idée de fournir un argumentaire au fédéral pour qu'il réduise les capacités d'agir de notre état pour des raisons de petite politique partisane, comme vous le faite dans votre texte d'opinion.
M.Duhaime, vous dites que je travesti vos propos alors que je vous cite au texte. Vous avez bien dis que, si Charest refuse de créer une commission d'enquête publique sur le scandale Norbourg «le gouvernement Charest donne malheureusement raison au gouvernement fédéral de vouloir venir protéger les petits épargnants québécois avec une agence pancanadienne». Comme Charest ne va obtempérer à votre demande, logiquement on doit conclure, que le fédéral aura donc raison d'agir et créer une commission des valeurs mobilières pancanadienne.
Je comprend que votre texte d'opinion vise à faire porter l'odieux de la perte éventuelle de notre commission des valeurs mobilières au PQ et au PLQ; mais admettez que vos propos ambiguë, qui relève de la petite politique partisane, ont pour conséquence de faire de vous un allié objectif des visées du fédéral. Et non un défenseur inconditionnel des intérêts supérieurs du Québec. Sans doute votre «nationalisme» est il tempéré par le fait que vous êtes d'abord un canadian first and foremost qui entretient des amitiés avec des membres éminents du Parti Conservateur de M Harper.
C'est sans doute ce qui vous paralyse a l'idée de scruter la responsabilité du fédéral dans le dossier des PCAA. Vous dites à la défense du fédéral que c'est la Caisse qui a joué au casino. La Caisse s'est tout simplement fié à la notation AAA accordé par la société DBRS de TORONTO qui faisait du PCAA un placement sans risque pour les investisseurs institutionnels.. Or je vous cite un journaliste du Globe and Mail qui nous dit, que sans cette notation il est peu probable que ce produits toxiques eut trouvé un marché, et impossible dans le cas des investisseurs institutionnels qui ne jurent que par le AAA. Il nous dit aussi que DBRS était en conflit d'intérêt, or c'est le fédéral qui avait la responsabilité de surveiller cette société de notation.
Or, je vous le répète ce floue dans la notation a fait perdre 10 milliards au Québec !
Pour comprendre ce qui s'est passé: Comment une petite société de TORONTO a déverser des milliards de produits toxiques sur le Québec, je vous suggère de lire ce texte:
http://www.vigile.net/Quebec-sink
Et pour savoir pourquoi il faut une enquête publique sur les pertes historiques de la Caisse:
http://www.vigile.net/Caisse-de-depot-et-placement-une
Puisque vous demandez une enquête publique dans le cas du scandale Norbourg, qui a causé des pertes de 115 millions pour 9200 « petits épargnants », alors qu'il y a eu enquête de la commission des valeurs mobilières et de police; sans doute ne resterez vous pas insensible à la perte de 10 milliards subie par des millions de Québécois (es) dans le scandale du papier commerciale (PCAA) pour lequel il n'y a eu AUCUNE enquëte.
Ma question que je vous pose publiquement: Allez vous aussi joindre votre signature à la pétition qui demande une enquête publique sur les pertes de la Caisse de dépôt ?
En appuyant cette demande vous gagneriez en crédibilité en tant que défenseurs des intérêts des petits épargnants; et, aussi de celui de l'intérêt supérieur de l'État Québec, contre les machinations de Toronto, auxquels Charest nous a rendu vulnérable.
J'attends la réponse du nationaliste, fervent défenseur des intérêts supérieurs du Québec, que vous dites être..
Jean Claude Pomerleau
25 juillet 2009
Suite
En quoi dénoncer celles et ceux qui veulent enfermer le Québec, les Québécois, le peuple souverain du Québec dans un Canada fabriqué de toutes pièces par minorité activiste affairiste occulte se parant de l’autorité impériale d’une monarchie de droit divin tutélaire, hors les voix du peuple démocratique et souverain du Québec, a été, serait, pourrait être contre-productif ?
En quoi dénoncer les assauts canadianisateurs est contre-productif ? En quoi mettre en lumière ces tentatives de faire de tout ce qui bouge une manifestation d'une canadianité obligée est contre-productif ? En quoi dénoncer le fait de ratatiner notre aspiration à l'universalité, en tant que peuple distinct de tout autre, distinct d'un État du Canada illégitime et invalide, serait, pourrait être improductif ?
Faudrait-il espérer fonder autre chose, espérer nous poser en tant que peuple souverain sans prendre acte de ce qui s'oppose à tel avènement dans ce statu quo de blocage canadianisateur ratatineur ?
Comment mettre de l'avant ce que nous sommes si nous nous empêchons de dénoncer ce qui nous empêche de l'être et de l'affirmer, à savoir, ce que produit, pour nous en empêcher, une constance, prégnante, invasive et tentaculaire tentative de canadianiser ce que nous voulons québéciser, ce que nous voulons fonder de manière valide et légitime en tant que peuple démocratique et souverain du Québec. Un peuple souverain qui veut vivre en français, parce qu'il est majoritairement d'origine française et qu'il veut mettre en valeur, développer profiter de cet héritage reçu de ses ancêtres s'étant établis ici sur ce territoire qui est maintenant le sien propre, ces paysages, ces hivers, ses étés, son fleuve-océan qui est le sien et dont il a la garde pour les transmettre à sa descendance.
Ces canadianisateurs qui appliquent une stratégie d’invasion insidieuse de toute notre réalité tangible, sociétale et intime, politique, mais aussi culturelle, identitaire, historique. Une canadianisation studieuse, rigoureuse, systématique qui s’empare de tout, du discours le plus innocent au plus virulent, qui se décline de manière arrogante aussi bien qu’humble et séductrice. Un déploiement tentaculaire, diversifié, organisé, employant toutes les stratégies utiles, de la bataille rangée à la guérilla urbaine ou campagnarde, affichée ou occulte.
En quoi ne pas l’identifier, ne pas mettre en lumière ce qui est occulte, ne pas la dénoncer serait productif ? N’est-on pas parvenu à lui faire rencontrer le mur que nous lui opposons, à la faire reculer ? N’est pas productif de ne pas lui abandonner le terrain, de lui opposer résistance ? N’est-ce pas productif d’avoir dénoncé la canadianisation du 400e, d’avoir enfoncé la ART-Peur Conservatrice, puis la superbe et falsificatrice Concorde de leur fête de la Conquête, l’assaut de la Présidence française, la vicieuse séduction du PrattiGescagnatiévisme, toutes entreprises ayant fait long feu grâce à nos successives et diversifiées mobilisations politiques et citoyennes ?
Ce n’est pas certes la seule tâche qui nous incombe, mais n’est-elle pas nécessaire, productive ? Certes il nous faut aussi aller de l’avant, nos arrières ainsi dûment protégées. Il nous faut maintenant faire l’UNION de nos forces. Le Canada ne passe pas. Il est bloqué, répudié au Québec. Il nous faut incarner ce refus dans les urnes électorales et référendaires et nous préparer à le faire, solidaires, unis. Dans une UNION en crescendo toujours plus forte. NON ?
25 juillet 2009
Suite
Là où il n'existe pas en tant que peuple, la où il n'est qu'un groupe ethnique parmi d'autres et à peine plus nombreux que d'autres. Ce « néant d'être » nous fait être dans un statut inique de Néandertal pré-historique. Ce peuple du Québec est aux portes de l'Histoire de l'État qui sera bientôt le sien parce qu'il aura répudié l'ancien qui ne lui sied plus, qui n'est pas le sien pour fonder un État de ses voix bien à lui.
« C’est la reconnaissance.(Si longtemps désiré par ailleurs par les canayens à l’intérieur de la Confédération canadienne). »
Le peuple souverain du Québec doit être appelé à se reconnaître comme étant la majoritaire et la seule démocratique et légitime Autorité Suprême sur son territoire national du Québec. Aucune Autorité quel qu'elle soit, ancienne ou présente en peut s'imposer à ce peuple souverain, qui est et sera désormais celle à laquelle devront se soumettre toute autre autorité. Cette reconnaissance part de soi. Il faut que ce peuple soit appelé à se poser comme Autorité primordiale. Il n'a plus à attendre la Reconnaissance des autres. C'est lui qui est habilité à reconnaitre, ou pas, les États qui prétendent s'imposer à lui. Ce n'est plus à lui à quémander une Reconnaissance qui ne vient jamais. Mais ce sont aux autres à solliciter le fait qu'ils les Reconnaissent.
Le peuple souverain du Québec ne reconnait aucun État comme étant valide et légitime. Cela doit s'incarner dans l'urne référendaire, seule institution d'État valide et légitime dans cet État du Canada invalide, abusif et illégitime.
« ...je crois bien modestement que le vote ethnique pourrait "suivre" le vote canayen, si celui-ci s’affirmait. »
C’est au P.Q. à veiller à ce qu’il s’affirme. Cela ne peut provenir que d’un discours très ferme du P.Q.
La COALITION SOUVERAINISTE doit appeler le peuple souverain du Québec à majorité d'origine française à se prononcer et se poser dans l'État en tant que majorité sur son territoire national. Elle doit inclure dans son PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ l'engagement électoral ferme tel appel aux voix du peuple.
« Et cela n’est pas requis pour la semaine prochaine. Mais pourrait se faire en crescendo. »
OUI. En crescendo. Sans grand bruit, doucement, ici dans Vigile par exemple, cela commence par l'UNION de nos forces citoyennes et politiques. Cela se poursuit dans l’ordre politique organisé, dans nos partis souverainistes. Cela prend de l’ampleur dans la réunion de notre députation souverainiste siégeant à Ottawa et Québec, Bloc québécois, PQ, QS. Nous sommes majoritaires dans telle députation. Pour concevoir et mettre de l’avant un PROGRAMME COMMUN de SOUVEAINETÉ et de GOUVERNEMENT. Cela de concert avec toutes les autres composantes de la mouvance souverainiste, PI, Conseil de la souveraineté, éventuel RIN2, RRQ, SSJB, etc., etc. Cela commence dès les prochains rendez-vous électoraux à Montréal, puis à Ottawa, et enfin à Québec, dans des élections toujours plus décisives.
« Quelle utilité la dénonciation à profusion des canadianisateurs ? Y-a-t-il plus contre-productif ? »
Là, j'aimerais comprendre. Il faudrait m'expliquer en quoi dénoncer les canadianisateurs est contre-productif !
Suite ici-bas
25 juillet 2009
Suite
Ce qui impose une vigilance de tous les instants, dans les grandes comme dans les petites choses pour qu'existe au coeur battant de l'Amérique du Nord un peuple de langue française et de culture vivante, attrayante, créative, dynamique, inventive, moderne, confluent de convergences diverses ouvert au monde et présent partout dans le monde parce que lui s’ouvre à ce que nous sommes, vraiment. Un peuple souverain créatif, aventurier, cultivé, savant, fier.
Il est question ici de participer à l'invention d'un monde où l'impérialisme écrasant fait place à la diversité culturelle, à la richesse sociétale et historique de l'Humanité hors la guerre, hors l'enfermement, hors la soumission. Il est question de dignité humaine, de fierté humaine. Cela impose le respect, la réciprocité.
« Il le devra nécessairement à l’égard du peuple québécois descendant du vieux peuple canayen. »
Les Québécois veulent exister dans l'État, pas seulement être une folklorique et passéiste groupe ethnique parmi d'autres. Nous ne sommes pas un groupe ethnique. Nous sommes un peuple. Les Québécois venus de partout dans le monde vivre ici ne forment que des groupes ethniques, les peuples dont ils et elles sont issus vivent ailleurs dans le monde. Ils et elles décident de venir ici, et arrivés ici ils et elles décident de rester parce qu'est apprécié ce que nous sommes, ce que nous voulons être, en français. Leurs enfants deviendront des Québécois.
Les Québécois d'origines françaises veulent être respectés en tant que peuple à part entière. Ce respect s'impose dans la majorité. Il est fragilisé par son statut de minorité canadienne. Tout le monde commence à le comprendre. Le Canada unilatéral actuel est répudié par les Québécois. Il restreint notre émancipation, nous prive de moyens pour exprimer ce que nous sommes et ce que nous voulons être. La crispation autour d'une canadianité obligée a fait long feu. Aujourd'hui l'ouverture est de mise. Le monde a changé, il bouge sans cesse. Les Québécois on droit de fonder un État démocratique qui émane nommément de ses voix et qui corresponde à ce qu'il désire et selon son bon vouloir à lui. Autre part qu'écrasés par une Autorité autocratique impériale d'un autre âge.
Les Canadiens eux-mêmes ne vivent plus dans cette crampe d'obédience britannique. Ils sont plus très nombreux à soutenir les signes anciens d'un monde qui a bougé. La République est proche, la monarchie britannique a fait elle aussi long feu... Au Québec depuis toujours, au Canada maintenant.
Les Canadiens envient les Québécois. Il fait bon vivre ici, il fait bon vivre à Québec du 400e, ville européenne en Amérique, dotée de vraies vieilles pierres, dotée d'un esprit autre. Le Québec n'a plus la même image de retard à rattraper, il est maintenant à l'avant-garde d'un mouvement de déploiement de la diversité culturelle et de l'inventivité d'un art de vivre convivial digne et fier, sans être impérial. C'est notre statut ancien d'Empire, intégrant le malheur du conquis, refusant d'être à nouveau impérialiste, mais refusant aussi de passer en deuxième sous prétexte que l'Empire devrait être celui des autres.
« Il (le P.Q.) lui faudra très nécessairement rapatrier le vieux vote canayen. Pour cela,il faudra toujours bien qu’il s’adresse à lui autrement qu’à seulement un peuple qui occupe simplement un territoire. »
Les souverainistes de la COALITION prennent fait et cause, doivent prendre fait et cause pour la cause du peuple souverain du Québec à majorité d'origine française. Cette cause a pour but de permettre à ce peuple de fonder un État valide et légitime sur son territoire national, là où il est majoritaire.
En lieu et place d'un État invalide du Canada, là où il n'est rien.
Suite ici-bas
25 juillet 2009
@ Marcel Haché
« Le discours péquiste ne pourra pas beaucoup fractionner le vote anglo. »
Vous voulez dire que les souverainistes, qu'une COALITION de GOUVERNEMENT SOUVERAINISTE a et aura de la difficulté à obtenir l'appui des Anglos-Québécois(es) pour fonder sur le territoire national du peuple souverain du Québec un État valide et légitime. Ce que n'est pas l'État actuel du Canada.
Oui et non. Ce groupe ethnique n'est plus ce qu'il a déjà été. Le Québec n'est plus ce qu'il a déjà été. La jeunesse anglophone vivant au Québec parle français, vote NPD, vit au Québec, est attachée au Québec, à Montréal, une ville qui bouge, un creuset culturel à la créativité débordante, en musique, en danse, en vidéo, en art du cirque et du rire et multimédia, en médecine, en science. Les Québécois ne sont plus perçus comme des provinciaux mal dégrossis. Ils réussissent partout dans le monde en rivalisant avec les plus grands. La culture, la société québécoise est attirante, rayonnante.
Nous avons toutes et tous accès ici à une diversité culturelle enrichissante qui s'ouvre sur autre chose que sur les États-Unis, rival, qui s'ouvre sur une Europe dynamique, moderne, sur le reste du monde, sur des cultures du monde, sur l'Afrique, l'Asie, la francophonie, le Maghreb, l'Algérie, le Liban. Ce qui fait de la place à l'Italie, au Portugal, à l'Espagne, toutes sortes de communautés aux appartenances diverses. ET cela se passe à Montréal, dans une culture majoritaire française.
On en est plus l'avant Révolution tranquille, à l'époque où une minorité anglaise unilingue arrogante, royaliste britannique, avait la totale mainmise sur notre économie et qui n'acceptait aucunement qu'il en soit autrement. Cet affrontement parfois violent a culminé avec leur retraite en 1976. Beaucoup sont partis. Celles et ceux qui sont restés se sont finalement pliés à la LOI 101, le Québec a été francisé, les Anglos-Québécois ont appris le français comme jamais auparavant. La menace de l'anglais vient d'ailleurs, elle vient d'Internet, de la câblicisation de la télé, de la radio, du téléchargement gratuit.
Cependant, la diversité culturelle mondiale est maintenant partie d'une conscience écologiste de la préservation de la biodiversité. Le monde n'est plus uniquement anglophone. Le monde a fait irruption en Amérique conquérante. Des puissances nouvelles émergent. L'Amérique du Sud prend sa place. Le Québec prend la sienne dans ce monde multipolaire. L'effondrement du Bloc de l'Est et la fin de la guerre froide ont transformé le monde le centre névralgique a glissé plus au Sud de l'Est ancien.
L'éventualité de la fondation d'un État valide et légitime du Québec n'est plus ce qu'elle a déjà été autant pour nous que pour les Anglo-Québécois. Les souverainistes de gauche à droite en passant par le centre peuvent mieux qu'avant obtenir de plus en plus d'appui, ou sinon de bienveillance de la part de nos concitoyens de l'ancienne minorité arrogante anglophone du Québec. L'hostilité ancienne fait place à une convivialité qui n'existait pas.
« Il le pourrait à l’égard du vote ethnique. »
Ce que vous identifiez comme étant une ouverture de la part des Québécois d'autres origines ethniques vaut aussi pour les Anglos-Québécois. Du reste, tout ça est lié. Et le fait de les dire parties intégrantes du peuple souverain du Québec est une condition essentielle de leur ouverture à l'État valide et légitime que nous voulons fonder ici, avec eux, en français, autour d'une majorité de Québécois d'origine française. Participant à la diversité culturelle et sa préservation.
Ce qui impose une vigilance de tous les instants…
Suite ici-bas
25 juillet 2009
@ M.Bousquet
« On dit que les Asiatiques réagiraient principalement avec la tête et le corps, les Caucasiens, avec la tête et le cœur, et les Noirs, avec le corps et le cœur.»
C'est quoi cette phrase !!!!! Votre source svp.
25 juillet 2009
Nous sommes QuébécoisES et nos origines sont Françaises. Pourquoi se compliquer la vie, si ce n'est que d'essayer de plaire au Canada Anglais et aux Canadiens. Je dis bien Canadiens, car en bout de ligne ce terme ne nous concerne pas, nous ne l'avons jamais endossé.
Pour les fédéralistes du Québec, c'est qu'ils ne connaissent pas leur histoire ou par paressse ou par manque de confiance en eux comme Québécois. Ils pensent qu'ils ne peuvent pas exister sans le Canada...malgré qu'ils n'aient pas signé la constitution de plein droit; c'est ce qu'on appelle une grosse contradiction ou contraction de leur leur existence!...Ils n'ont qu'à penser aux Indiens et ce qui leur est arrivé après avoir fait confiance aux Anglais!!!
J'espère qu'ils vont se réveiller un jour pour constater que comme Québécois, nous avons tout les atouts d'un pays et que nous n'avons pas besoin de la permission du Canada Anglais pour le devenir...ce grand pays.
25 juillet 2009
Le seul intérêt à aller visiter Gesca, Québécor média, Le Devoir, Radio Canada, c'est pour y analyser le travail de désinformation.
Le reste c'est chiens écrasés, info-commerciaux, potinages, le cancer provoqué par l'épaisseur du papier de toilette, et la "petite politique" à scandales.
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La Banlieue S'exprime
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