Les bons perdants
17 août 2009
Nous avançons monsieur Archambault, nous les indépendantistes québécois mais la locomotive qui doit faire avancer le train est sur la voie d'évitement.
Actuellement,ça sent la fin de régime à Québec tout comme en 1976.Le gouvernement Charest est usé jusqu'à la corde. Ca commence même à sentir très mauvais. Même la vieille rangaine de la construction des barrages hydro-électriques mise de l'avant par Robert Bourassa en 1973 ne fonctionne plus. Plus personne au Québec ne prend ça au sérieux!
Il y a eu l'affaire de la Caisse de Dépôt puis le cafouillage inimaginable de Bolduc à la santé démontrant que ce triste individu n'y est pas à sa place. Et là, on apprend que le président d'Hydro-Québec traitait bien ses petits amis du secteur privé en éducation. On n'a encore rien vu! Attendez dans un an; ça va sentir la charogne!
Le danger qui nous guette, c'est une opposition officielle qui sera tentée de demeurer sur son gros ''C'' en ne pariant que sur l'alternance, en se positionnant dans rien et n'élaborant pas publiquement un plan de match complet pour remplacer ces salopards qui se vautrent actuellement.
L'UNION Comme vous le dites; c'est urgent! J'ignore encore quelle forme cela prendra mais nous devons être prêts cet automne à ruer dans les brancards.
Ca devra cogner dur!