Joignons-nous à son panache blanc!
26 septembre 2009
Enfin de l'air frais et surtout de la vérité !
Chu tanné du menteur à Tremblay qui nous prends pour des poires !
UNE de Vigile
Pour se dilater la rate sans méchanceté . . .
Mouvement pour une démocratie nouvelle
La langue anglaise domine le monde et sert aujourd’hui de support à cette pensée unique.
une de vigile
Une réflexion qui m’apparaît comme étant absolument incontournable
Prophétesse de malheurs dont les prédictions ne sont jamais prises au sérieux.
CYRANO de Bergerac
La UNE de Vigile
La UNE de Vigile
26 septembre 2009
Enfin de l'air frais et surtout de la vérité !
Chu tanné du menteur à Tremblay qui nous prends pour des poires !
25 septembre 2009
Bonjour M. Haché
Je partage votre sentiment, vous visez juste. « Aucun gouvernement péquiste n’ayant jamais planté son propre drapeau (de guerre) de gouvernement. Celui de la province a suffi. » Exactement. Une mention honorable pour M. Parizeau, tout de même, qui était sérieux. Aujourd'hui et quant à moi, depuis plusieurs années, le PQ est malhonnête, il fait de la fausse représentation. Je crois que l’étapisme est une valeur sûre pour la pérennité du parti. Les gens qui contrôlent vraiment ce parti (ils doivent être moins de 20), ceux qui décident en dernier ressort de tous les actes du PQ depuis plusieurs années, ces gens-là sont dans leur bulle et rien ne les fera en sortir.
Je suis bien d’accord que souvent, l’émancipation de certains peuples a pris plus d'un siècle, mais souvent aussi il s'est agi de confrontations armées, de répressions sanglantes et de soulèvements de la population, ce dont il n'est pas question au Québec. Il ne faut pas accéder à l'indépendance en tuant des gens, pour moi c'est clair. Mais il faut être lucide et comprendre ce que signifie ce choix, le choix de refuser les combats armés. D'abord faire autrement, à moins d'être attaqué et de devoir se défendre, n'est pas humainement acceptable, on ne tue pas les gens. Il faut comprendre que cela est très positif pour notre position internationale, mais très négatif quant à notre capacité d'influence intérieure, je dirais : puisque nous ne sommes pas dangereux, on se permet de nous taper dessus à tout bout de champ, de nous réduire, de nous amenuiser sciemment. Je ne prône pas la violence, je veux que nous comprenions ce qu'implique notre choix et notre comportement. Le PQ ne comprend pas ce que ça implique, il croit se battre à armes égales.
Je sais qu’un accident de parcours, un événement incontrôlé (par ceux qui dictent l’agenda) peut accélérer les choses, mais on s’en va vers le demi-siècle et on n’est pas plus avancé que dans les années 80. Vous avez raison. Et vous avez raison aussi de nous prévenir que la mort du PQ serait la mort de la Cause pour un bon bout de temps, tout un chacun s’empressant d’interpréter la disparition du PQ comme étant le signe de l’acceptation générale de la britannicité de notre identité, de notre appartenance à la société canadienne, aussi floue soit-elle. La réalité : notre subordination définitive. La mort du PQ consacrerait pour plusieurs années notre statut de citoyen de seconde classe au Canada, comme les amérindiens.
La majorité des voteurs qui appuient le PQ, c’est-à-dire beaucoup plus de gens que les militants comme nous, ne demandent rien au parti, ils votent pour lui et continuent malgré tout à voter pour lui. Ce sont ces gens-là que le PQ entretient comme on entretient son jardin, il sait lire les sondages, et il n’a pas le courage d’infléchir les choses, il se sent trop petit, incapable. « On exerce le pouvoir de la manière qu’on l’a pris », c’est bien vrai. Le PQ est d’abord et avant tout préoccupé par sa propre survie, son comportement est le même que toute organisation soucieuse de durer dans le temps. Or l’émancipation de la nation requiert le courage de se battre, d’assumer les risques. On ne peut pas affronter sérieusement l’ennemi (mais ça, on ne veut même pas reconnaître que nos adversaires sont en réalité des ennemis car ils tuent le Québec à petit feu), on ne peut pas l’affronter véritablement tant qu’on reste retranchés dans nos positions et que les ennemis avancent. C’est suicidaire, nous sommes entourés. On se demande pourquoi ces gens persistent à vouloir représenter les souverainistes.
Certains demandent la venue de Gilles Duceppe. Moi je l’aime bien, je crois qu'il ferait beaucoup mieux que Mme Marois, mieux aussi que Bernard Landry, mais quand même, je crois que tout continuerait comme présentement avec lui à la tête du parti. Toujours en respectant les règles du jeu, c’est-à-dire en évitant toujours d’aller à contre-courant des dicktats de la Cour Suprême, des frondes d'Ottawa et de l’opinion publique, celle-là fabriquée par les faiseurs d’opinion majoritairement fédéralistes. Je ne crois pas que Gilles Duceppe travaillerait autrement que pour susciter l’émergence d’éventuelles conditions gagnantes pour un référendum traditionnel.
Après bientôt 40 ans, il est temps de faire autre chose, d’agir concrètement, de construire envers et contre tous. Il faut un leader qui fixera l’agenda, qui sera plus fort que les faiseurs d’opinion. Quelqu’un qui a les idées claires, comme M. Parizeau, qui a son courage, son énergie et sa détermination. Il y a de tels gens au Québec, mais il n’y a pas de place pour eux dans l’organisation péquiste.
Nous n’avons pas besoin de l’union autour du PQ, chercher l’union des forces souverainistes est vain s’il s’agit de s’aligner à ce parti. L’union viendra quand un leadership fort et éclairé se manifestera. C’est toujours comme ça que ça se passe. Ça peut venir autrement que par les partis politiques mais nous sommes trop confortables au Québec, on n’est plus en 68.
P.S. : M. Bousquet semble ne voir toujours que la superficie des choses. « Est-ce parce que le PQ ne parle pas assez de souveraineté ? ». Il ne s’agit pas de parler ou non de la souveraineté, qu’est-ce que ça veut dire, ça ? Mettre le mot « pays », « souveraineté » ou « indépendance » quelques fois dans nos discours, ce n’est pas utile. Quand je dis qu’il y a des arbres dans la forêt, est-ce que je fais de la foresterie ? Le PQ ne parle pas comme le ferait quelqu’un qui en est convaincu. C’est ça le problème M. Bousquet. L’opinion publique n’est pas d’accord avec ça parce que les faiseurs d’opinion nous ont inculqué que les séparatistes ne parle que de cela, mais la réalité est tout autre. Cette rangaine des fédéralistes nous est rentrée dans la tête depuis des années, même les commentateurs souverainistes se font prendre ; pourtant, jamais jamais il n’est question d’agir avec détermination dans le sens de notre émancipation.
25 septembre 2009
« L’anglais est essentiel, c’est la langue des affaires, de la science et de la culture ».
Rozon n’est qu’un clown triste qui entretient la médiocrité québécoise en généralisant la « Société du spectacle ». Ici, au Québec, dès qu’on parle d’histoire, les refoulés comme Rozon s’empressent, de leurs gros rires gras et puant la suffisance (et l’inculture), de niveler par le bas (c’est ce que font les gens qui n’ont aucune finesse ni ouverture. Nier sa propre langue, c’est vouloir désespérément retourner contre soi-même la domination dont on a fait l’« objet », en bref, un geste sadique si l’on s’arrête à écouter l’humour québécois truffé de grossièretés et de dénis) tout débat et toute critique.
Continuons de rire à gorge déployée et à nier notre histoire au profit du capitalisme bestial que promulgue Rozon. On est bien partis pour un autre siècle de lèche-culs sans intelligence! Le vingtième siècle a eu Trudeau, le fasciste iconoclaste. Le vingt-et-unième siècle se contentera d’un gros colon sans délicatesse, signe de progrès. Comme l’écrivait le Frère Untel, « on peut peinturer une clôture, mais on ne peut que “peindre” la Joconde »…
André Meloche
Sainte-Sophie
P.S. À les écouter, ces « tenants » du multiculturalisme, on s’aperçoit bien vite qu’ils ne parleront toujours que deux langues secondes…
25 septembre 2009
Merci M. Charbonneau pour nous transmettre si bien l'esprit de cet homme unique que Chomsky, Oliver Stone et bien d'autres considèrent comme l'inspiration et le porte étendard de cette nouvelle Amérique émergente. Vous nous donnez le goût d'aller vite l'entendre. Pourtant, force est de constater l'acharnement avec lequel nos médias essaient de diaboliser cet homme en en faisant, tantôt un dictateur, un allié des forces armées révolutionnaires de Colombie, un narco trafiquant, un autre tantôt un bouffon provocateur et sans contenu. Même hier soir, à grand reportage de R.C sur la libération d'Ingrid Bétancourt, on est parvenu à lier de nouveau Chavez avec les FARC à partir d’un ordinateur trouvé sur les lieux du bombardement d'un campement, en territoire équatorien, où se trouvait le numéro 2 des FARC. Depuis lors tout le monde sait que ce soi disant ordinateur avait été trafiqué par des spécialistes pour servir de référence à la désinformation et aux calomnies les plus grossières. Un scénario semblable et plus récent a été lancé, cette fois, sur des armes que Chavez auraient données aux FARC. Dans ce dernier cas, il l’a aussitôt démantelé en mettant en évidence qu'il n'était même pas Président du Venezuela lorsque ces armes ont été trouvées entre les mains des FARC. Aucun de nos médias n’a fait référence à ces démentis. Le souci de l’information et de la vérité n’est pas toujours au rendez-vous de la profession. J’espère que le documentaire d’Oliver Stone sur cette Amérique émergente pourra être vu au Québec. Il semblerait, selon les confidences de Stone à Chavez, que sa diffusion aux États-Unis soit interdite. Je termine ici mon commentaire car des interférences viennent compliquer l’usage normal de mon clavier.
Merci M. Charbonneau pour votre article
24 septembre 2009
hmm, intéressant :) pour ma part, je ne saurais trop dire pourquoi je n'étais présent au moulin à parole... Sans doute par manque d'intérêt, de ce que tu pointes justement dans ton texte par "anyway, ce sera du pareil au même"... Peut-être aussi ma tendance de tendre vers l'individualisme, un problème que certains pourraient qualifier de générationnel, mais je croirais plutôt que c'est le système qui nous y pousse...
Ce genre de sujet me touche beaucoup, mais je me sens impuissant quand à son dénouement, alors je préfère mettre des efforts dans ma propre vie plutôt que dans le système...
Mais ça fait plaisir de voir que des gens de notre entourage mettent les efforts pour changer les choses, et j'essaierai d'au moins ne pas ramer dans le sens contraire...
24 septembre 2009
Le discours intégral de M Ahmadinejad à l'ONU
et merde à notre presse Pravda !!
http://www.huffingtonpost.com/2009/09/23/ahmadinejad-un-speech-vid_n_297682.html
24 septembre 2009
Je te propose le Réseau de Résistance du Québécois : resistancequebecoise.org
Des membres du Réseau sont présent sur le campus de l'université si tu souhaites en savoir plus.
Julien Gaudreau
Étudiant en Économique et Science-Politique à l'université Laval
24 septembre 2009
Bonjours M.Fortin
Un récent rapport de la société royale des sciences de Grande-Bretagne suggère que les poissons sont sensibles à la douleur. Est-ce que cela signifie qu'un enfant de treize ans, enlevé en Afghanistan, la tête enfermée dans un sac, expédié par avion à plusieurs milliers de kilomètres de là, à Cuba, pour y être confiné dans une cage à poule, pourrait lui aussi éprouver des sensations physiques à la limite du désagréable?
Pourquoi des gens civilisés comme Stephen Harper tolère la roposte modérée d'Israël qui a ensevelit la Palestine et le Liban sous un déluge de bombes à fragmentation, sachant que des gamins vont marcher dessus ou les fera voler en éclat? Si les poissons sont sensibles, il y a de fortes chances pour que ses enfants conçoivent quelque contrariété à la perte de morceaux de leurs corps.
Stephen Harper, ce grand sensible, n'a pas assister au discours de président iranien à l'ONU, préférant prendre un café dans un Tim Horton, en compagnie de ses semblables gros beignes.
Source: Ma guerre conttre le terrorisme. Terry Jones.
Ex-Monthy Python.
24 septembre 2009
Effectivement, j'ai transmis ce texte à l'ensemble des journaux regroupés dans Cyberpresse et évidemment au journal Le Devoir. À ce jour je n'en ai eu aucun écho dans leurs publications. Si quelqu'un réalise que le texte a effectivement été publié dans un ou l'autres des journaux, me le faire savoir pour que j'en félicite le média. Également, Jean-Michel Leprince, de Radio-Canada, a été sur ma liste sélective.
24 septembre 2009
Merci la Presse pour vos éditoriaux si peu convaincants :
« On le vit étonner de ses regards étincelants ceux qui échappaient à ses coups. »
Jacques-Bénigne BOSSUET
24 septembre 2009
Wow! quel article et quel bon commentaire de Grand-Papa! Que vous avez
raison lorsque vous dites que les médias ne parlent que de l'affaire Lacroix, Jones,
les compteurs d'eau etc...pendant que le scandale de 40 milliards$ est mis sur la voie
d"évitement. Charest, c'est le spécialiste de la diversion comme c'est pas possible. Je le
vois venir avec l'augmentation des tarifs pour aller chercher l'argent des contribuables
pendant que ces fraudeurs à cravate sont en train de mettre le Québec en faillite et
s'en sortent comme des larrons en foire. Au lieu d'égorger le peuple avec une augmentation
éventuelle des tarifs de services gouvernementaux et d'une hausse possible d'impôt,
qu'attend-t-il pour aller chercher l'argent chez les compagnies minières (droits miniers
à rabais) et chez les compagnies forestières qui ont pillé la ressource aussi à rabais
avec des droits de coupe à prix ridicules? Et je pourrais continuer.... J'en ai assez de
voir le peuple se faire déplumer pendant que ces bandits à cravates pillent nos
ressources naturelles dont certaines comme les minières sont non renouvelables.
Il faut que le peuple se réveille et cesse de remettre ses affaires dans les mains
de ces politiciens véreux qui sont de comnivence avec la mafia économique pour nous fourrer loyalement. Québécois, réveillez-vous!
André Gignac
24-9-09
24 septembre 2009
Monsieur Bachand,
Excellent texte! Comme vous le dites:" Être unilingue semble la
normalité dans la plupart des pays", alors qu'attendons-nous pour normaliser notre situation en créant notre propre pays? Nous sortirions de cette confusion identitaire
qui nous mène vers une assimilation irréversible si nous ne faisons rien pour renverser
la tendance. Tant que nous ne sortirons pas de cette tour de Babel qu'est le Canada, nous serons toujours pognés avec ce bilinguisme assimilateur. Nous pensions que la
loi 101 était la véritable solution en 1977 lorsqu'elle a été adoptée à l'Assemblée
Nationale; notre gouvernement actuel ne l'applique même plus aujourd'hui.
Et avec tous les jugements rendus contre cette loi par la Cour Suprême du
Canada-anglais, elle a perdu beaucoup de plumes. Et qu'en je pense à Marois qui
veut l'améliorer lorsqu'elle prendra le pouvoir, c'est rire des Québécois. Pour que le
français devienne la seule langue officielle et publique, il faut que le Québec devienne un
pays indépendant, il me semble que c'est clair! Sans l'indépendance, tout ce que
le gouvernement à Québec pourra faire, c'est du colmatage "patchage" en langage
populaire.
André Gignac
24-9-09
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!