Quel culot!
6 octobre 2009
''....Monsieur Dubuc, vous ne comprendrez jamais qui était Falardeau pour la raison que vous n’êtes ni un homme libre et ni un homme indépendant. Vous êtes comme le chien de la RCA-VICTOR accroupi devant le cornet du gramophone sous lequel on pouvait lire : ’’HIS MASTER’S VOICE ...''
M. de Lotbinière, par ce passage, vous venez de nous fournir la plus belle image, la plus nette, celle d'un des cabots les plus serviles de Desmarais, fortillant de la queue, implorant son maître pour qu'il le flatte. C'est chien mais c'est ce qu'il y a de plus vrai pareil!
Couché Dubuc !
Denis Lalande