Un parti de trop
10 janvier 2016
Le Québec en pleine torpeur.
Avez-vous remarquer qu'à preuve du contraire; sans les collusions, corruptions, scandales, fraudes et tricheries de toutes sortes, le parti libéral s'en va nulle part. Les magouilles de Jean Charest étaient une incitation à la dépense et à l'investissement dans plusieurs secteurs de l'économie québécoises en autant que les amis libéraux touchaient leurs bénéfices sous la table. Philippe Couillard a beau s'esquinter à ne pas faire de vague en gardant la plus médiocre équipe de ministres de tous les temps autour de lui en noyautant le système judiciaire faisant en sorte qu'aucune accusation criminelle n'aboutisse malgré la Commission Charbonneau, les perquisitions de l' UPAC et le choix de son ami et associé Arthur Porter d'aller se cacher au Panama pour mourir, dont on attend toujours les preuves d'ADN promises pour l'automne dernier et le rapatriement de sa sépulture au Québec...
La CAC ou Québec solidaire, des créations pondues par les grands penseurs d'Ottawa, toujours assises entre deux chaises qui savent tirer profit du manque d'intérêt des québécois à la chose politique, tellement on leur a enseigner à ne plus débattre car c'est pas beau la chicane.
Chateaubriand disait: L'immobilité politique est impossible; force est d'avancer ave l'intelligence humaine.
Nous avons maintenant au Québec et à Ottawa deux pantins qui cachent la disette de leurs idées par l'abondance de leurs paroles, ignorant tout de l'économie et qui se prétendent premier ministre en nous menant tranquillement mais sûrement à la banqueroute, avec la complicité des médias incapables de livrer la marchandise.