Le génocide en douce du Québec
28 août 2017
Christophe Guilluy dans son dernier livre « Le crépuscule de la France d’en haut » explique bien que dans les milieux populaires, personne ne souhaite devenir minoritaire dans son « village » , ni en France, ni en Algérie, ni en Chine, ni au Sénégal.
Notons que Réal Ménard, ancien député du Bloc québécois dans Hochelaga-Maisonneuve, a rejoint l'équipe électorale de Denis Coderre, et a voté pour Montréal ville «sanctuaire».
On dirait que beaucoup de nos nationalistes-policitiens, à l'instar de M. Ménard, ne sont que de vils opportunistes qui sont là plus pour la poche ($$$) que pour défendre les Québécois de souche (ça prendrait du courage).
Tout cela pour rien, car je prédis par exemple qu'aux prochaines élections, le Parti Québécois va perdre le comté d'Hochelaga-Maisonneuve (comme Mercier et Gouin ont été perdus...). Suffit de s'y promener un peu (dans HoMa) pour se rendre compte qu'on y parle de plus en plus anglais, avec une importante population d'immigrés (qui quoiqu'on en dise ne voteront pas pour le PQ). Même Maka Kotto, dans Bourget, est en danger.
À terme, il n'y aura plus aucun député péquiste à Montréal. Déjà, en 1976, René-Lévesque avait fui son comté de Dorion pour se présenter à Longueuil, lui qui avait perdu en 1970 et 1973 dans Laurier-Dorion, puis dans Dorion.