• Vigile en 24h 1 article Speech bubble 4 commentaires
  • 8 visiteurs connectés
  • Connexion
logo
  • Vigile
    • Rubriques
      • Histoire
      • Économie
      • Actualité internationale
      • Actualité québécoise
      • Géopolitique
      • Actualité canadienne
      • Médias
      • Société
      • Souverainisme
      • Vigile.Québec
    • Articles
    • Sources
    • Revues
    • Dossiers
    • Auteurs
  • Actualité
      • Dossiers du jour
      • Actualité québécoise
      • Actualité canadienne
      • Actualité internationale
      • Géopolitique — France - (2 articles)
      • Hydro-Québec — Grande Braderie - (2 articles)
      • Décoder le présent - (1 article)
      • Géopolitique — États-Unis d'Amérique - (1 article)
      • L’âme des peuples se trouve dans leur histoire - (1 article)
  • Articles récents
  • Revues de presse
  • Auteurs
  • Éditorial
  • Chroniques
  • Dossiers
  • Tribune Libre
    • Envoyer un texte
    • Politique éditoriale
    • Guide pratique
  • Radio / Vidéo
  • Dons
    • Vigile a besoin de votre appui!

      Joignez-vous aux Amis de Vigile

      Faire un don unique
      S'abonner
    • Pour joindre Vigile


      Envoyer un message
      Envoyer un texte

André Lafrenaie

  • Squared

    André Lafrenaie52 articles

    • 44 940







Un Conseil du statut de l'homme

  • André Lafrenaie
  • 26 décembre 2016
  • 608 visites
  • 16 commentaires

Martine Ouellet ou Comment voter en se pinçant le nez prise 2

  • André Lafrenaie
  • 4 octobre 2016
  • 388 visites

Vigile et l'agonie du peuple québécois

  • André Lafrenaie
  • 26 septembre 2016
  • 808 visites
  • 1 commentaire

L'héritage politique de Mario Beaulieu à ce jour

  • André Lafrenaie
  • 8 septembre 2015
  • 483 visites
  • Précédent
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • Suivant

Financement

  • Maxime Boisvert - 2 juin 20245 $
  • André Lepage - 22 mai 20245 $
  • Gilbert Paquette - 20 mai 202410 $
  • Matthieu Rivet - 17 mai 20245 $
  • Hugo Lavoie - 10 mai 20245 $

Commentaires de André Lafrenaie

  • Le gouvernement fédéral n’aurait pas respecté un vote majoritaire au référendum de 1995 !

    1 novembre 2017


    L'ONU ou les pays dits démocratiques du monde reconnaissent le droit d'un peuple à son autodétermination, mais non pas, selon ce que la crise catalane a permis de mettre en évidence, le droit de faire un référendum sur cette question!...  Il s'agit vraiment là d'une dictature ou d'un totalitarisme que tous les mouvements souverainistes du monde doivent de toute urgence tenir compte.

    Le peuple catalan est aujourd'hui complètement isolé, et c'est pratiquement assuré que ce qui leur est arrivé va arriver à toute autre nation qui va essayer d'accéder à son indépendance, que ce soit la nation québécoise ou une autre.  On le constate d'ailleurs à la perfection avec cet extrait que Vigile nous apporte ici.  Tout comme le président espagnol Mariano Rajoy a assommé ou écrasé les Catalans en leur disant que la constitution leur interdisait tout référendum, le premier ministre canadien Jean Chrétien aurait finalement dit au peuple québécois qui aurait voté Oui en 1995 que "la constitution canadienne ne contenait aucune disposition évoquant la séparation éventuelle d'une province".

    On peut être sûr que Justin Trudeau prendrait cette même position dans le cas d'un futur référendum québécois gagnant.  Se servir de la constitution pour déclarer illégal soit un référendum sur l'indépendance, soit une déclaration comme telle d'indépendance a fonctionné à merveille dans le cas catalan, car aucun pays du monde ne s'est opposé à ce raisonnement dictatorial et totalitaire!...  N'importe quel gouvernement de la planète va donc désormais sans le moindrement se casser la tête utiliser ce même scénario.

    Il n'y a ainsi absolument plus rien que les mouvements souverainistes peuvent essayer pour accéder démocratiquement et pacifiquement à leur indépendance, sauf une seule chose que nous avons déjà proposée dans un récent article publié sur Vigile:  ils doivent d'abord et avant tout se regrouper dans une sorte d'ONU des peuples en lutte pacifique pour leur indépendance, de façon à acquérir un poids et une voix à l'international que ne pourra jamais avoir un peuple isolé et qui pourrait finir par mettre mal à l'aise les dirigeants de la planète dans leur hypocrisie et leur dictature.

    Plusieurs actions communes pourraient être mises en application dans tous les pays dans lesquels se trouveraient les mouvements souverainistes membres de ce regroupement:  pétitions, boycottages, manifestations, conférences de presse, etc., pour aider ponctuellement l'un d'eux particulièrement en difficulté, par exemple actuellement le peuple catalan.

    Mais le plus important serait que cet organisme pourrait apparaître, aux yeux de tous les citoyens du monde pour qui la démocratie et la liberté sont ce qu'il y a de plus important, comme un contrepoids des plus utiles contre la dictature et le totalitarisme dont font maintenant preuve ouvertement sans se gêner aucunement l'ONU ou tous les pays de la planète, ce qui ne pourrait qu'aider chacun des peuples membres du regroupement.

    André Lafrenaie

  • Le gouvernement Trudeau s’apprête à confronter simultanément les États-Unis et la Russie !

    27 janvier 2017


    M. Le Hir

    Vous écrivez: " (...) il n'est même pas certain qu'ils (les Québécois) aient besoin d'attendre Marine Le Pen pour reprendre le flambeau de l'indépendance. "

    Vous dites souvent ainsi que les conditions actuelles sont très positives pour les souverainistes québécois.

    Malheureusement, l'establishment et le caucus péquistes ne sont pas du bord de l'indépendance du Québec. Il s'agit là d'une condition si négative qu'elle l'emporte sur toutes les conditions positives que vous pouvez relever, ce qui fait que le P.L.Q. va encore rester au pouvoir.

    On a eu un grand espoir avec Péladeau qui aurait pu être notre Trump à nous, mais maintenant on n'a plus rien. En fait, on n'a rien depuis vingt ans, depuis que Parizeau est parti. Le "système", qui est à 100 % fédéraliste, nous tient bien en laisse et ne nous lâchera pas.

    André Lafrenaie

  • Un Conseil du statut de l'homme

    25 janvier 2017


    M. Jean Brilland

    Si les féministes ne sont pas heureuses de voir les filles écraser les garçons
    à l'école, elles ne font en tout cas, tout comme le ministère de l'Éducation du Québec, rien du tout pour rééquilibrer les choses. Elles défendent et promeuvent d'abord et avant tout la nation des femmes et des filles, et non la nation québécoise qui contient "malheureusement" des hommes et des garçons. C'est pourquoi on a absolument besoin d'un Conseil du statut de l'homme qui donnerait enfin aux hommes et aux garçons québécois une voix qu'ils n'ont jamais, mais au grand jamais, eue depuis que le féminisme existe, soit près d'un demi-siècle.

    P.-S.: Votre positivisme est absolument remarquable!

  • Un Conseil du statut de l'homme

    10 janvier 2017


    M. Jean Brilland

    Votre citation de Renart Léveillé est malheureusement très déconnectée de la réalité. Le féminisme et la société matriarcale québécoise actuelle ne sont pas plus égalitaires que la société patriarcale précédente, et absolument rien ne nous donne à penser qu'ils vont le devenir davantage dans le futur. Les féministes sont heureuses de voir les filles écraser les garçons à l'école. Elles sont heureuses de voir que demain les professions libérales seront occupées dans une proportion écrasante par des femmes. Etc.

    Au sujet du film de Pierre Perrault dont vous parlez, j'encouragerais certes nos jeunes à le regarder. Je noterai quand même, au risque de décevoir encore votre si bel idéalisme, que les féministes trouveraient sans doute ou sûrement le moyen de le considérer plutôt sous l'angle d'un objet d'étude de la société patriarcale québécoise que comme un repère quelconque apte à "soulever l'âme" de leur "identité québécoise".

    André Lafrenaie

  • Un Conseil du statut de l'homme

    7 janvier 2017


    M. Jean Brilland

    "Je choisis la voie ou l'on apprend à s'écouter et s'entendre(...)."

    Soit. Mais ça fait cinquante ans que les hommes québécois sont ouverts aux féministes et écoutent leurs demandes qu'ils acceptent toujours sans rechigner. Aujourd'hui, c'est aux hommes de demander de l'aide et on espère que les femmes vont de même écouter et accepter avec la même ouverture.

    "Le féminisme se cherche, se définit... et nous, les hommes, faisons partie de la solution."

    Soit. On espère ou aimerait seulement que cette solution n'implique pas que les hommes québécois doivent, pour que le féminisme, disons, s'"accomplisse pleinement" et complète "sa mission égalitaire", accepter de devenir toujours davantage des citoyens de deuxième ordre.

    Le film "Le règne du jour" que vous évoquez est touchant. Mais il ne peut guère aider les hommes et les garçons québécois d'aujourd'hui et de demain.

    André Lafrenaie

  • Un Conseil du statut de l'homme

    1 janvier 2017


    M. Gilles Verrier

    Vous avez décrit les structures publiques spéciales crées par l'État tels les organismes féministes (le Conseil du statut de la femme, etc.) comme des "parasites", une "grave dérive du sens de l'État", etc. En tout cas, ils ont eu un succès fulgurant pour les femmes.

    Vous écrivez aussi que le "retard des garçons à l'école relève du ministère de l'Éducation". Mais comment se fier à ce ministère qui a laissé aller les choses pendant des décennies jusqu'au désastre actuel? Les garçons sont maintenant bien en arrière des filles dans les résultats scolaires; on prescrit du Ritalin à beaucoup plus de garçons que de filles; beaucoup plus de garçons que de filles décrochent; se suicident; etc. Ajoutons que ce ministère ne cesse de produire des réformes scolaires dont chacune est plus "douteuse" (euphémisme) que la précédente.

    Vous donnez comme piste de réflexion pour le retard des garçons sur les filles le début de la mixité des filles et des garçons à l'école. Je me souviens d'un article lu il y a assez longtemps dans lequel une féministe refusait catégoriquement que l'on revienne à des écoles séparant les garçons et les filles parce qu'elle était certaine que cela favoriserait trop les garçons. Ce sujet est très "discuté", mais évidemment personne ne bouge. On est donc devant un désastre qui s'est échelonné sur des décennies et on en est encore et toujours à des "pistes de réflexion", ce qui signifie clairement que rien ne changera pour les garçons. Notons que les féministes ont un poids énorme sinon décisif dans notre société actuelle pour bloquer tout changement qui ne fait pas leur affaire.

    Un Conseil du statut de l'homme aurait le mandat et les ressources nécessaires pour étudier les problèmes reliés à la condition masculine au Québec, entre autres évidemment les problèmes des garçons dans leur ensemble, ce qui signifie non seulement en rapport avec l'école mais aussi avec les parents, les médias, le féminisme, etc. Ni vous ni moi ne pouvons faire ce travail.

    J'ai regardé la vidéo sur le livre que vous citez (mais pas lu le livre), et je ne vois vraiment pas ce qui pourrait concrètement être utile là-dedans aux garçons et aux hommes québécois. J'en profite quand même pour parler un peu de la "virilité". C'est très documenté dans le réseau social que les hommes en besoin, en difficulté, dans la misère ou en détresse consultent beaucoup moins que les femmes dans la même situation, utilisent beaucoup moins les ressources disponibles pour essayer de se sortir de leur impasse. Il faudrait absolument trouver le moyen de modifier cette mentalité même si vous qualifiez cette approche de "féminine". Vous (et l'auteur que vous citez) raisonnez de la même façon aussi au niveau de l'ensemble des hommes: ils ne doivent pas avoir d'organismes voués à leur défense parce que c'est là une approche trop "féminine". Les garçons vont donc s'enliser toujours davantage car ils ne peuvent s'en sortir seuls.

    J'ajouterai quand même, au sujet de cette approche "virile" ou de "clan" du livre dont vous parlez, que c'est vrai que faire du sport aide les hommes et les garçons à reprendre confiance en eux; mais, justement, le ministère de l'Éducation du Québec a comme "bizarrement" fait exprès de réduire les activités sportives à l'école, ce qui a évidemment eu pour effet de démoraliser bien davantage les garçons que les filles, les amener davantage au Ritalin, à décrocher, etc., comme quoi encore on ne peut en rien se fier sur notre ministère de l'Éducation pour aider les garçons, au contraire même...

    André Lafrenaie

  • Un Conseil du statut de l'homme

    31 décembre 2016


    M. Gilles Verrier

    Je pense que c'était une bonne chose que le gouvernement québécois crée dans les années 70 des organismes féministes à même les fonds publics. Si une partie de la population est en difficulté, c'est correct de l'aider à faire un rattrapage. L'État est là pour ça. Sans cette aide, c'est très difficile sinon impossible que change substantiellement la situation d'un groupe défavorisé. La société civile ne peut seule arbitrer les choses de façon à assurer la plus grande justice pour tous.

    Également, je ne demande pas que le lobby féministe au sein de l'État, c'est-à-dire les organismes féministes financés par le gouvernement comme le Conseil du statut de la femme, le Secrétariat à la condition féminine, etc. soient abolis même si les femmes en sont aujourd'hui rendues à écraser les hommes dans plein de domaines. Mais il faut obligatoirement accorder les mêmes organismes aux hommes et aux garçons car ils ont maintenant encore plus besoin d'aide qu'elles. Ils sont aujourd'hui dans la même situation qu'elles il y a cinquante ans. L'État doit ainsi absolument donner aux hommes et aux garçons la même aide que les femmes et les filles ont reçue dans les années 70 et qu'elles ont toujours continué de recevoir. Si le gouvernement enlevait aujourd'hui les organismes féministes qu'il finance depuis presque cinquante ans et laissait aller les choses, je pense que les hommes et les garçons ne seraient pas capables de faire le rattrapage qui s'impose tellement est maintenant grand leur retard et tellement est maintenant forte l'empreinte féministe dans notre société.

    Ces structures publiques polarisent (pour reprendre une expression de M. Jean Brilland) certes notre société en deux clans, les femmes et les hommes, mais c'est maintenant impossible de faire autrement. Les féministes ont déjà créé une sorte de nation des femmes, un bloc extrêmement solide et homogène, et ça ne changera plus. Alors, si les hommes ne font pas comme elles, ils sont foutus, et on en a déjà la preuve irréfutable aujourd'hui même avec l'écrasement des garçons par les filles dans tout le système d'éducation québécois. Ces garçons non seulement ne sont presque plus capables de faire des études universitaires, mais ils ont toutes les difficultés du monde à faire des études secondaires. Ils n'occuperont donc pratiquement pas du tout les sphères dites intellectuelles de la société qui produisent presque automatiquement et exclusivement les dirigeants politiques, économiques, etc. de tout État. Ils sont condamnés à être des citoyens de deuxième ordre dans une société matriarcale.

    On doit se battre contre ce désastre, cette injustice flagrante, et pour cela on a absolument besoin que l'État crée des organismes voués à la défense des hommes et des garçons comme il en a donné aux femmes et aux filles depuis presque un demi-siècle. Répétons que ça n'a aucun sens de dire que ça polarise trop notre société car elle l'est déjà du côté des femmes qui forment un bloc homogène, pratiquement une nation. Si les hommes ne se constituent pas au plus vite de leur côté en un bloc aussi solide, ils vont toujours davantage se faire fouler dans la boue par elles comme c'est malheureusement déjà si bien commencé.

    M. Jacques Pierre

    Ce serait évidemment dans le mandat d'un Conseil du statut de l'homme et dans celui d'un Secrétariat à la condition masculine d'étudier ce dont vous parlez et tout autre point touchant la condition masculine au Québec, et de faire au gouvernement les recommandations qu'ils jugent appropriées. Sans de tels organismes pour les hommes, on peut être sûr à cent pour cent que rien ne changera jamais substantiellement dans notre société qui est maintenant solidement féministe et sous contrôle matriarcal pour corriger les injustices subies par les hommes et les garçons.

    M. Pierre-Yves Dubreuil

    Les hommes québécois se laissent toujours davantage écraser par les féministes: est-ce que ce ne serait pas encore la même chose au sein d'un "ministère des genres"? Je pense que les hommes seraient sûrement perdants à essayer de trouver de nouveaux chemins, à faire des explorations, des essais. Les féministes seraient aisément capables de tourner n'importe quoi à leur avantage, et elles gagneraient encore et encore du temps pour nous faire reculer toujours davantage et irrémédiablement. Les hommes québécois sont maintenant acculés au pied du mur et n'ont plus de temps à perdre. Ils vont demain matin vivre à peu près l'équivalent de ce que les femmes vivaient avant les années 70: ils vont vivre dans une société presque aussi entièrement contrôlée par les femmes qu'elle l'était jadis par les hommes. Or, une société qui se veut égalitaire n'a pas plus à être matriarcale que patriarcale. On est passé d'un extrême à l'autre. Notre seule porte de sortie est d'utiliser la voie choisie par le gouvernement et les féministes dans les années 70. Cette formule a été gagnante à merveille pour les femmes; et les hommes n'ont absolument rien à gagner à chercher une autre solution, un autre chemin, que cette formule gagnante. Personne n'a jamais intérêt à changer une formule gagnante.

    D'autre part, il n'y a présentement au Québec absolument aucun affrontement que ce soit contre les féministes amorcé par les hommes québécois qui se laissent constamment écraser sans réagir. Un Conseil du statut de l'homme leur donnerait enfin une voix qu'ils n'ont jamais eu depuis que le féminisme existe. Les constats et propositions de ce Conseil seraient mis sur la place publique, ce qui permettrait enfin à la population de sainement et sereinement comparer les deux côtés de la médaille au lieu d'entendre toujours uniquement le son de cloche féministe forcément biaisé en faveur des femmes.

    André Lafrenaie

  • Un Conseil du statut de l'homme

    28 décembre 2016


    M. Jean Brilland

    Je vous remercie de votre commentaire. J'aimerais réagir sur certaines idées qui s'y trouvent.

    1. Ce sont les féministes qui ont créé la plus extrême polarisation, différenciation hommes-femmes au Québec. Elles ont exclu les hommes de leurs organisations et créé comme une sorte de nation des femmes. Conjuguée à la passivité ou la bonne volonté des hommes québécois, cette stratégie a été efficace comme une machine de guerre des mieux huilées, avec le résultat qu'aujourd'hui les garçons québécois sont écrasés par les filles dans tout notre système d'éducation. Ou bien on reste comme vous dans le "politiquement correct" et on considère la société matriarcale qui a produit ce désastre pour nos garçons comme la panacée de l'histoire, ou bien, pour se défendre comme on peut, on polarise comme l'ont fait les féministes. Je choisis la seconde option car je considère qu'on n'a plus le choix devant l'évidente descente aux enfers pour les hommes québécois causée par ce féminisme et cette société matriarcale.

    2. Trouvez-vous vraiment positif que dans le futur à court terme les femmes détiennent presque tous les diplômes et que les hommes soient largement confinés à des emplois manuels? N'y a-t-il pas là une " dégénérescence" des hommes québécois qui étaient pourtant jadis capables d'être des professionnels?

    3. Après presque un demi-siècle de féminisme, on devrait pourtant voir un peu, il me semble, cette "solution d'égalité véritable" que vous attendez. Mais, ce que l'on constate plutôt, c'est que les garçons et les hommes québécois deviennent des citoyens de deuxième ordre dans cette société féministe et matriarcale que vous idolâtrez.

    J'aimerais bien voir comme vous la vie en rose, mais j'en suis incapable et en fait je m'y refuse. La politique de l'autruche n'est guère viable.

    Sans rancune, j'espère...

    André Lafrenaie

  • Course au PQ: les candidats et le référendum

    15 juin 2016


    Il n'y a pas que la question du référendum qui est primordiale pour le peuple québécois.

    Tout le monde sur Vigile semble s'accorder pour dénoncer l'immigration massive qui est un remplacement de population, qui est en train de nous angliciser et de nous assimiler à une vitesse grand V, et qui va inévitablement tuer tout projet d'un Québec libre.

    Cependant, personne sur Vigile ne semble oser exiger de chaque candidat à la chefferie du P.Q. qu'il se prononce clairement sur cette question de l'immigration. On veut une réponse nette de chaque candidat: Combien d'immigrants comptez-vous faire entrer annuellement au Québec si vous devenez chef du gouvernement québécois?

  • L'odyssée de Lisée

    21 mai 2016


    Je n'arrive pas à comprendre que Richard LeHir et Mathieu Bock-Côté appuient la candidature de Lisée. Ça me dépasse. Est-ce que c'est la position de toute l'équipe éditoriale de Vigile? Peut-être que LeHir et Bock-Côté se disent que Lisée ne peut être pire que Cloutier, Hivon ou Ouellet. En ce qui me concerne, Lisée ou Claude Morin, c'est du pareil au même, et je ne voterai pas pour le P.Q. avec un de ces quatre candidats comme chef. Heureusement qu'Option nationale a survécu au départ de Jean-Martin Aussant. J'appuierais néanmoins la candidature de Régis Labeaume.

  • Le Bloc et l'état de l'État

    22 septembre 2015


    Après avoir été élu maire de Montréal, Coderre s'est en effet empressé de parler de Montréal comme d'une "cité-état", et de demander beaucoup plus d'autonomie et de pouvoirs par rapport au gouvernement du Québec. On a ainsi vraiment l'impression sinon la conviction qu'Ottawa l'a envoyé à Montréal entre autres pour préparer et réaliser, en cas de déclaration d'indépendance du Québec, la partition du territoire québécois en lui soutirant notamment la ville de Montréal. Duceppe, évidemment, donne volontiers un coup de pouce à tout ça, collabore à ça, en s'unissant avec Coderre pour que Montréal devienne davantage dépendant d'Ottawa que de Québec...

  • Le coût d'entretien des nouveaux immigrants du tiers-monde en augmentation constante

    10 août 2015


    Claude Morin n'était certainement pas, déjà dans les années 70, le seul agent d'Ottawa à avoir infiltré le mouvement souverainiste. Pierre Vadeboncoeur, en novembre 1977, a écrit dans le Jour que, lorsqu'il était à la C.S.N., lui et les autres membres de ce syndicat s'étaient rendu compte, depuis la fin des années 60, d'une infiltration très considérable par la G.R.C. non seulement du mouvement souverainiste mais même de toute la société québécoise. Il s'agissait alors de centaines d'agents qui ne faisaient pas partie de la force officielle de la G.R.C. Ça fait donc au moins un demi-siècle que cette infiltration a commencé, et on peut ainsi imaginer la multitude de faux souverainistes qui oeuvrent aujourd'hui dans le mouvement indépendantiste, et ce à tous les échelons. Au plus haut niveau, le cas de Lucien Bouchard est maintenant assez acquis ou connu chez les lecteurs de Vigile. J'ajoute les noms de Pierre-Marc Johnson, Bernard Landry, André Boisclair, Pauline Marois et Gilles Duceppe. Johnson se déclare lui-même aujourd'hui ouvertement fédéraliste; Landry n'a rien fait tout comme Bouchard pour nous rapprocher de l'indépendance quand il était premier ministre; Boisclair était le protégé de Bouchard, ce qui veut déjà tout dire; Marois en avait, selon ses propres déclarations, pour deux ou trois mandats avant de peut-être penser à faire un référendum sur l'indépendance; et Duceppe est le digne successeur de Bouchard, s'inscrit en parfaite continuité avec lui. On peut ainsi comprendre pourquoi le projet d'indépendance a non seulement piétiné mais même régressé depuis le départ de Parizeau en 1995. Ceux qui ne sont pas d'accord avec ces noms doivent nous expliquer pourquoi on a tellement tourné en rond depuis deux décennies.

  • «
  • 1
  • 2
  • 3
  • »

André Lafrenaie est suivi par:

  • Personne ne suit André Lafrenaie. Soyez le premier!


À propos de Vigile

Vigile ouvre ses pages à tous ceux que le combat pour l’indépendance mobilise. Vigile respecte et encourage la liberté d’expression et accueille les différences qui ne compromettent pas l’avenir de la nation. Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs textes.

Médias sociaux

Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

Vidéo Vigile

CONTACT #46 | L'américanisation de l'espace mental - Mathieu Bock-Côté (par Stéphan Bureau)

  • 14 janvier 2024

© Vigile.Québec 2025

  • Politique éditoriale
  • Envoyer un message