En lisant Vigile
14 février 2012
Mme Vallée,
Vous avez des noms ou des solutions ?
Devrait-on trouver à qui profite le crime ?
Qui donc est responsable du crime ?
Vigile serait-il infiltré par des fédéralistes ?
Qui donc est de mauvaise foi ?
Qui donc travaille pour l'ennemi (pas pour Marois ou pour Duceppe, mais pour les fédéralistes) ?
L'ennemi ce n'est pas Marois ou Duceppe ou même «les radicaux» (comme le dit Charest) de QS, l'ennemi ce sont les fédéralistes qui veulent nous maintenir sous le joug d'un gouvernement canadien réactionnaire et militariste.
Je trouve votre remarque un peu trop simple, Mme Vallée.
Il est vrai que je suis de nature "simpliste" concernant la volonté de faire reconnaître notre Pays.
Qui donc veut que le Québec soit finalement reconnu ?¸
Qui donc ne veut pas ?
Voilà, selon moi, les seules et uniques questions que nous devons mettre de l'avant pour l'instant.
Démontrez à nos concitoyens, par tous les moyens, l'absurdité d'être sous la tutelle d'un gouvernement qui représente tout ce qui nous répugne.
Démontrez à nos concitoyens la satisfaction d'être les Maîtres chez nous !
Maîtres de notre avenir, de notre langue, de notre image internationale.
Maîtres de nos ressources, maîtres de nos lois.
Les chicanes à savoir qui est le sauveur et qui a la meilleure recette, ça finit pas me faire gerber.
Le crime ce n'est pas cette petite chicane à l'intérieur du nombril de Vigile, le crime c'est d'être toujours canadien après s'être fait dire, il y a plus de 30 ans: « Si je vous ai bien compris… » Oui, vous savez tous la suite.
Elle est où la suite ?
Sur Vigile depuis que nous ne sommes plus à ce kâlisse (excusez-le, mais vous savez lorsqu'on en a plein le cul, le sacre est le meilleur mot qui soit pour exprimer son émotion), oui ce kâlisse de parlement étranger canadien.
Salutations,
Serge Charbonneau
Québec
P.S.: Excusez-moi, je ne veux pas me mêler de ce débat qui ne me regarde pas vraiment, moi simple Québécois et non grand manitou de la stratégie qui rend indépendant, mais ma grande gueule s'ouvre trop facilement.