Le délire totalitaire de Jean Charest
19 mai 2012
« Il partira sous les huées, comme Sarkozy »
Ma nature de pessimiste indécrottable me dit qu'il ne faut jamais vendre la peau du baveux avant de le voir bien bien agonisant dans ses tourments .
Comme le souligne M. Laverdière:
« N’empêche que Charest semble gagner des points dans les sondages avec cette crise. »
Charest, ce poulain dont les rênes sont tenues par des patrons bienveillants comme la dynastie Desmarais, peut, avec une campagne médiatique efficace réussir à séduire les masses malléables.
Il y a sûrement des gens spécialisés dans l'évaluation de l'importance de la masse malléable. Avant de lâcher un poulain qui semble encore pouvoir servir, il faut vraiment constater que la masse malléable de l'électorat est disparue.
Malgré mon pessimisme indécrottable, je dois avouer que j'ai aussi l'impression que cette masse malléable se réduit de jour en jour.
Ce sont les Prattes et les Prouts de service qui nous indiqueront si Charest est lâché. Tant que les Prouts et les Prattes persistent à en faire la "promotion", le con va sembler gagner des points dans les sondages. Et lorsque le con gagne des points, le con, même s'il est le roi des cons, peut toujours être élu.
Il ne faut pas oublier qu'il a réussi à se mettre les deux mains sur le volant.
Il ne faut pas oublier que le con canadien s'est aussi fait élire «majoritaire» malgré que tout le monde clamait ses lacunes flagrantes !
Non, mon pessimisme indécrottable me laisse craindre de voir ce baveux corrompu s'en sortir. Tant que ses puissants amis le poussent, il vit.
Cependant un bon point soulevé par M. Le Hir:
« Les Italiens réservent peut-être à Charest et au PLQ un chien de leur chienne à la prochaine élection . »
Serge Charbonneau
Québec