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Robert Bertrand

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    Robert Bertrand39 articles

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    rédacteur,
    [Québec un Pays->http://membres.lycos.fr/quebecunpays/]




Le prochain chef Libéral du Québec : un nationaliste québécois

  • Robert Bertrand
  • 21 mars 2007
  • Tribune libre - 2007

A-t-on le droit de voter pour Jean Charest ?

  • Robert Bertrand
  • 15 mars 2007
  • Tribune libre - 2007

Charest : disqualifié à tout jamais

  • Robert Bertrand
  • 6 mars 2007
  • Québec 2007 - Après un OUI - Charest et la partition

Pourquoi est-ce "si" difficile ?

  • Robert Bertrand
  • 1 mars 2007
  • Québec 2007 - la question nationale

Les sondages : un autre moyen de manipuler ?

  • Robert Bertrand
  • 28 février 2007
  • Québec 2007 - la question nationale
  • 2 commentaires

Lucien Bouchard : le lucide pour qui ?

  • Robert Bertrand
  • 12 janvier 2007
  • Tribune libre - 2007

Sorry, I don't speak french

Lettre ouverte à Graham Fraser

  • Robert Bertrand
  • 18 avril 2006
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Commentaires de Robert Bertrand

  • L'arrogance de la procureure et de la juge en disent long

    31 janvier 2014


    L'avocate (la procureure) de la Commission, Madame Lebel, a fait un travail de «bouffon du roi» à cette Commission, selon moi.

    Qui d'autre a été traité de cette façon malgré les preuves que cette Commission avaient en main et qu'elle a démontrées en leurs présences.

    Quel est l'agenda caché de cette Commission ?

    La perte de 40 milliards et les primes de départ et les primes aux rendements, c'était un dû pour les vrais tricheurs, les vrais malfaiteurs du bien public.

    En comparaison, ce ne sont que quelques milliers de dollars. Sachant leurs salaires, c'était pratiquement une juste compensation pour le travail réalisé qu'ont été leurs voyages et/ou tours sur le bateau.

    Sans crainte, on a le devoir de remercier Monsieur Arsenault pour le travail accompli dans de telles circonstances.

  • Plus de 20 000 personnes à la manifestation d'hier

    27 octobre 2013


    Simplement dire que la VÉRITÉ a des droits.

    Ce qui a fait le succès des manifestations en 2012, c'est la réalisation de manifestations à date fixe, les 22 de chaque mois.

    Une suggestion:

    Manifestons régulièrement jusqu'aux prochaines élections.

    Oui, une fois par mois mais il n'est pas interdit de petites manifestations tous les jours jusqu'aux élections.

    Et pourquoi pas les casseroles.

    Imaginons ce que sera la manifestation pour L'INDÉPENDANCE. Oui, au Pays du Québec.

  • De l'insatisfaction à Option nationale.

    6 juin 2013


    Combien de combats avons-nous perdus, NOUS, QUÉBÉCOIS D'AMÉRIQUE, à cause de nos divisions?

    Il ne s'agit pas de mettre la faute sur un groupe plutôt qu'un autre. Il s'agit, tout simplement, d'en faire le constat.

    On est 8 millions ... ça prendrait 8 millions de partis politiques.

    Au début des années 1900, Honoré Mercier nous disait: «cessons nos luttes fratricides».

    On est français de caractère et d'état. On aime débattre, discuter, s'en faire accroire.

    S'UNIR, ça semble difficile mais c'est déjà arrivé: une opposition circonstancielle.

    Pourquoi il n'y aurait pas une UNION circonstancielle pour finaliser le PAYS du Québec?

    Il n'y aura plus -- un seul canal de télévision -- où tout le monde écoutait et n'avait que ce canal pour s'informer.

    Il y en a des centaines aujourd'hui et nos opinions sont diversifiées à l'infini.

    Les fédéralistes actuels sont dans le domaine de la collusion et de la corruption.

    Est-ce qu'on ne pourrait pas mettre de côté la hargne des uns et des autres pour un objectif commun: LE PAYS DU QUÉBEC ?

  • Laval : une île, une ville, un Gilles

    11 mai 2013


    Le Parrain installé à Québec donnait ses ordres de ramasser 100 000$ par année pour son parti politique.

    Pensez-y, il y a dix ans, ramasser 100 000$ c'était un job de bras. Ils ont créé la magouille depuis les bureaux des divers ministres qui donnaient des contrats. Ce n'est pas un fruit du hasard. C'était dirigé, voulu, organisé par le PARRAIN.

    Bref: en retour des contrats, il fallait payer.

    À Laval comme dans les grandes villes à plusieurs contrats s'est installé des spécialistes sous la direction d'un chef de gang.

    Quand on nomme les ministres, les juges, le responsable de la Caisse de dépôt, quand ces personnes font des «erreurs» de 40 milliards $ ce n'est pas important. Les collaborateurs sont proches et les bénéficiaires savent se taire pour laisser la parole au Parrain.

    Quand les juges servent une idéologie comme on le voit sur la question de la Cour Suprême et ses collaborateurs du régime constitutionnel au service de LEUR Canada, il nous faut lire correctement ce qu'ils font. Les petits juges des cours inférieures pourraient-ils servir les intérêts d'un groupe politique qui a des objectifs de préserver le régime de manipulations dans lequel le Québec est à l'étroit.

    Le Parrain, on le sait bien, a été l'envoyé d'Ottawa pour nous soumettre.

    Tout est permis pour un Parrain. Il avait un chef de gang qui était protégé par le système pour durer aussi longtemps.

    Oui, une île. Oui, une ville. Oui, un Gilles.

    Il a voulu aller plus loin en étant membre du l'Union des Municipalités, et membre du Conseil d'Administration de l'Hydro. Les manipulateurs veulent étendre leurs tentacules pour avoir TOUT le contrôle. Ça n'a pas marché partout. Des citoyens voyaient clairs et ont dénoncé officiellement et/ou officieusement.

    Des maires clairvoyants ont sonné des cloches.

    Le Parrain gardait les rennes du pouvoir et voulait soumettre tout ce qui bouge. Les étudiants ont vu juste et les manifestations devenaient une autoroute pour éveiller toute la population.

    Ensemble, nous avons fait le constat: Trop, c'est trop.

    Maintenant ou jamais.

    Se prendre en mains, s'assumer, c'est le devoir, l'obligation du peuple du Québec.

    Un Pays riche avec des gens honnêtes au-dessus de tout soupçon.

    C'est notre prochain rendez-vous.

    Robert Bertrand
    2013-05-11

  • Coup d’audace de l’Assemblée nationale, il faudra.

    2 mai 2013


    En peu de mots il est grand temps d'agir.

    La RAISON D'ÉTAT nous commande qu'un geste de l'Assemblée nationale se réalise pour sortir du carcan de cette confédération et affirmer le PAYS DU QUÉBEC.

  • Lucien Bouchard, un «drôle de politicien»

    16 avril 2013


    Toutes les interventions nous permettent de constater que l'on a tous un peu raison.

    On a tous présenté une parcelle de la réalité qui est nôtre.

    Je m'attache à l'essentiel: LE POUVOIR

    Quand tu es majoritaire dans un système politique avec les institutions britanniques, tu peux faire ce que tu veux. Bien sûr avec la majorité des sièges. Lucien Bouchard avait la majorité des sièges. Donc, il était maître du jeu.

    Si on a élu Lucien Bouchard, c'est qu'il avait un programme lors de cette élection.

    J'essaie de me souvenir mais c'est confus. Vous pouvez sans doute ajouter et nous dire le contenu de ses interventions avant son élection. Sous quels thèmes, quels objectifs s'est-il fait élire?

    Avec ces données on pourrait voir, ensemble, pourquoi s'est-il intéressé, une fois élu, qu'à l'objectif du déficit zéro et arrêté de nous parler du Pays du Québec.

    Le soir de son élection, au Centre des Congrès, il y avait un groupe de jeunes, avant que vienne nous parler le gagnant de la soirée, qui scandait constamment: QUÉBEC, UN PAYS.

    Je me disais que, lorsqu'il va se présenter, il était pour en parler et scander avec eux ce QUÉBEC UN PAYS. Mais NON, tout le contraire.

    Il était ÉLU mais il n'était pas content. Je ne répète pas ce que j'ai déjà écrit.

    Si on pouvait élaborer sur ce qu'il nous aurait dit pour se faire élire. Là, on pourrait, les uns et les autres, évaluer à sa juste valeur, le mandat qui a suivi.

    A-t-il fait ce pourquoi il a été élu ou a-t-il changé de cap?

    L'avons-nous élu pour s'occuper du déficit zéro?

  • Aucun rapport avec la réalité

    11 avril 2013


    QUÉBÉCOIS, oui. Il faut ouvrir les yeux et assumer nos responsabilités!

    On est tellement et seulement Québécois que l'on ne s'occupe pas de nos adversaires qui font du mal plus que ce que l'on peut imaginer.

    On les laisse décider parce qu'on a aucune emprise sur les décisions qui sont prises et on ne s'occupe pas des conséquences parce qu'on a le sentiment de ne plus être de ce pays là.

    Notre devoir, c'est donc d'analyser toutes les décisions de nos adversaires, du Pays qui nous est étranger mais qui nous domine.

    On nous triche, nous manipule, nous exploite et on leur envoie nos impôts, nos taxes et on les laisse s'occuper de nos affaires extérieures, comme si le tout était entre bonnes mains.

    Nous, au Québec, on s'intéresse aux travaux publics, aux trottoirs, aux égouts, aux routes, aux autoroutes.

    Eux, pour notre bien, ils s'occupent des achats des armes, des avions, des navires de guerre par centaines de milliards de $. Mais on ne s'occupe pas de ces contrats là, c'est l'affaire de l'autre gouvernement. Mais nous payons plus que notre juste part de tous ces achats.

    Nos 50 milliards annuels servent pour qu'ils se développent à leur façon et contre nous.

    Qui reçoit ces contrats pour des avions? pour des navires ? pour des chars d'assauts, pour des services divers de l'armée? Qui voudrait croire qu'il n'y a pas de collusion-corruption dans tout ce qui se passe là-bas ?

    On ne s'en occupe pas mais c'est avec nos sommes d'argent qu'ils font ça et nous PAYONS.

    Il est temps de s'occuper de nos affaires qui sont également dans le Pays qui nous est étranger.

    On a le droit de regard sur NOS affaires. Ce sont NOS sommes d'argent.

    Des juges qui SE SERVENT du pouvoir pour faire ce qu'ils veulent et non pour servir équitablement la réalité de nos vies.

    Des politiciens qui se font élire par nous tous, citoyens du Québec et qui servent les intérêts des autres.

    À nous de s'ouvrir les yeux et de voir quand ils nous mentent, nous trichent, nous manipulent, nous volent.

    Ils font tout ça malgré les serments qu'ils font pour SERVIR les citoyens.

    Robert Bertrand,
    2013-04-11

  • Des mots vides de sens

    25 janvier 2013


    Un premier ministre travaille dans la réalité de tous les jours. On s'attend à des gestes concrets dans l'immédiat.

    On attend d'un premier ministre des orientations qui se concrétisent dans des projets de lois à présenter à l'Assemblée nationale ou on factualise des décrets qui viennent établir des faits qui portent des fruits immédiats ou dans un avenir rapproché.

    L'éducation, la formation, l'instruction sont des éléments qui se réalisent, comme on le sait bien, sur une longue durée. C'est le devoir des enseignants que d'enseigner. «Reculer les frontières de l'ignorance», n'est-ce pas un devoir de tous les jours pour nous tous.

    Si le Québec doit se fonder sur la constitution qu'il doit se donner, c'est qu'il y a un manque fondamental depuis trop longtemps. Le premier acte de notre existence, s'il consiste à l'établir par une constitution, il nous faudrait donc plancher, ici et maintenant, sur la réalisation de cette constitution.

    Vous nous parlez, Monsieur Sauvé, d'une «doctrine» qui serait le préambule d'une constitution.

    Cette doctrine serait représentée par les «treize principes fondamentaux de toute stratégie d'État» dont le premier principe est celui de «l'appréciation rigoureuse du contexte et de la situation»

    ( http://quebecunpays.net/Cours-sur-la-strategie-sur-la-formation-Rene-Marcel-Sauve-Qc-un-Pays.html )

    Allons à l'essentiel. Deux États existent actuellement. Les Québécois se voient dans UN ÉTAT qui est le sien, celui du Québec.

    N'est-ce pas là un constat du premier principe de la stratégie d'État? (l'appréciation rigoureuse du contexte et de la situation).

    Que les Élus du Québec parlent de leur ÉTAT et que ces ÉLUS assument les responsabilités de l'État qui est le nôtre et qui est leur responsabilité en tant qu'ÉLUS en l'Assemblée nationale du Québec.

    Plus ils assumeront ce concept d'État national du Québec, plus les autres lois, les autres privilèges se verront dissoudre dans une nouvelle réalité qui est la nôtre.

    C'est dans l'action que l'on voit la grandeur de l'être qui assume SES responsabilités.

    Bref, que la Première Ministre assume l'État du Québec et prenne, avec l'ensemble des représentants de son Cabinet, tout l'exerce des pouvoirs de notre État national.

    En tant que Première Ministre du Québec, n'est-ce pas ce qui est à faire ?

    Comme PREMIER MINISTRE, je connais les principes et les exigences de ces principes et je les assume. Ce n'est pas à moi de les enseigner. JE LES ASSUME.

    C'est dans l'action de mes responsabilités de PREMIER MINISTRE que les citoyennes et citoyens apprendront les détails, les fondements, les réalités des treize principes.

    La question posée par Me Cloutier, dans son intervention ci-haut est la suivante:

    «Si vous étiez premier ministre du Québec, ici et maintenant vous feriez quoi ?»

    Restons-en à l'essentiel.

    Comme PREMIER MINISTRE, comment agissons-nous? Que faisons-nous?

    Monsieur Sauvé, depuis des années, vous les avez enseigné ces principes. Ils ont été assimilés. On les assume maintenant. Merci à vous.

    Voilà. C'est dit.

    Robert Bertrand

  • Coupable d’être un peuple en devenir, ou en souffrance de lui-même?

    2 novembre 2012


    Merci de cette qualité de texte et de contenu. En d'autre temps, ce fut le «Frère untel» qui nous passait des messages. C'est trop beau pour vous garder dans l'anonymat.

    Tout au cours des 200 jours de présence et d'activités, Gabriel Nadeau-Dubois a incarné l'espoir par cette activité populaire de manifestations qui en est résulté par une affirmation de soi personnel et collectif.

    L'effet s'est fait sentir dans le monde entier avec notre printemps-érable qui n'en finissait plus.

    Des éluEs de petits calibres se sont permis de voter une Loi moribonde à la hauteur de leurs propres personnes et aux avantages des corrompus et de la collusion. Ces éluEs auront marquer leur temps.

    Un jeune imbu de sa personne et de ses propres intérêts s'est laissé prendre dans ce jeu de l'injustice qui dominait sous l'ancien régime dont il reste des membres de l'équipe d'UNE VOIX encore en notre Assemblée nationale du Québec.

    Comment s'en sortir sans la poursuite de l'engagement de solidarité dont on a solidairement fait preuve pendant plus de 6-7 mois de suite? On ne refait pas l'histoire mais on a le droit de se regrouper à nouveau et de se solidariser à nouveau. On n'a pas fini notre route ENSEMBLE. Nous avons un devoir de poursuivre.

    Rappelons-nous les bons moments qui nous ont convaincus que c'était l'avenue qui a été applaudie de par le monde, dans de nombreux pays. Nous voir nous regrouper pacifiquement tantôt avec humour, tantôt en désinvolture, tantôt contre des forces policières qui étaient complices du pouvoir corrompu. Certains s'enorgueillissent encore de leurs exploits. Faisons-leur ravaler leurs turpitudes des derniers mois alors qu'ils détenaient le pouvoir quasi absolu.

    Nous avons vécu cette période ENSEMBLE avec espoir de s'en sortir pour un vivre dans un monde meilleur qui nous attend dans le monde d'aujourd'hui.

    Nous remettre en marche solidairement pour une fin plus grande qui nous dépasse comme individu mais qui nous ressemble pour réaliser, ENSEMBLE, le Pays qui est en gestation depuis trop longtemps et qui ne fait que de demander à se concrétiser avec une majorité de notre peuple, de notre nation.

    Nos éluEs sont maintenant de notre côté pour atteindre nos objectifs. Travaillons pour définir ce qui nous convient pour ce dernier droit qui est à notre portée. Le voulons-nous?

    Nous avons besoin de toi, Gabriel, nous avons besoin de vous Léo et Martine et tous les autres. Nous sommes beaucoup de Gabriel, de Léo et de Martine qui sommes prêts à poursuivre pour des valeurs qui nous ressemblent tous.

    Jeunes et moins jeunes, nous vivons, ici, ENSEMBLE.

    Nous le faisons pour nous, personnellement et pour nous collectivement.

    Vous avez l'expérience des consensus à la base pour asseoir à nouveau l'élan qui sera notre récompense à nous tous.

    L'espoir est avec nous. Continuons à alimenter cette étincelle pour un avenir qui nous appartient.

    Longue vie à vous Cristal de paix.

    «Fais du feu dans la cheminée... s'il fait du soleil à Paris... il en fait partout»

    Robert Bertrand
    2012-11-02

  • Faire comme en Suisse et en... Nouvelle-France !

    20 octobre 2012


    Concrètement, pour passer de la parole aux actes, il y a une adresse, un lieu de rencontres?

    Qui sont sollicités pour la «défense territoriale» ? Toutes les citoyennes et tous les citoyens?

    Cette défense territoriale répond à un besoin.

    Une adresse courriel?

  • Lettre ouverte aux citoyens du Québec

    17 octobre 2012


    La société existe.

    Il y a plusieurs corps constitués qui ont des responsabilités diverses.

    Quand un système fait défaut à la tête, d'autres devraient intervenir.

    Par exemple: les policiers qui ont le devoir de voir ce qui fait défaut et d'amener ces gens vers le bon port. Ils ne l'ont pas fait. Pourquoi ?

    D'autres pouvaient intervenir tels les éditorialistes des grands journaux comme des radios ou télévisions.

    «ENQUÊTE» de Radio-Canada a fait un travail.

    Tout le monde ne serait que des lecteurs de nouvelles dans ces grands médias ? NON. Il y a les commentateurs, les «grandes gueules» Ont-ils dénoncé Charest qui commandait à ses ministres de collecter 100 000 $ par année?

    C'était connu depuis longtemps que les ministres collectaient un minimum de 100 000$/an. Un ministre avouait, en l'Assemblée nationale que LUI aidait des confrères et que LUI collectait bien davantage.

    La faute vient de là. LE VRAI COUPABLE ce ne sont pas les entrepreneurs qui voulaient gagner leurs vies mais c'est celui qui voulait des sommes d'argent pour sa CAISSE ÉLECTORALE en échange de contrats qui se devait d'être manipulé pour satisfaire le grand patron.

    Certaines années, le PLQ déclarait collecter pour sa caisse électorale 9 millions $. Nous sommes 8 millions de citoyens, c'est 1.00$ par citoyen juste pour les LIBÉRAUX de Charest la collusion-corruption.

    Entre nous, si le PLQ déclarait officiellement 9M$ est-ce en dehors de toutes sommes autres (enveloppes brunes et quoi d'autres)?

    On a appris que les ingénieurs ont reçu des sommes d'argent. On ne sait pas encore si ces sommes étaient pour eux ou pour satisfaire le PLQ de Charest?

    La Commission Charbonneau nous expose les façons de faire d'un entrepreneur.

    Sans doute, il ne dit pas tout mais il nous en dit assez pour voir que ce sont les partis politiques, du Maire Tremblay, du Maire Vaillancourt, du Parti Libéral du Québec qui seraient les grands bénéficiaires de ces sommes d'argent colectées pour le plus grand bien des LIBÉRAUX de Charest.

    Ces LIBÉRAUX qui parlent D'UNE VOIX. Ce ne sont pas des anges. Tous les ministres en fonction étaient conjointement responsable. (responsabilité ministérielle).

    Comme citoyen, on peut dire que nous avions comme responsables des voleurs, tricheurs, manipulateurs, magouillleurs de premier ordre.

    L'ordre venait du Chef du Parti qui nous servait de Premier Ministre.

    Ne s'est-il pas servi de l'État du Québec pour ses propres fins.

    Nixon a été trouvé coupable pour bien moins important que ça et toute sa carrière en a été chambardée. En plus, il a été obligé de démissionner.

    Il est important de poursuivre cet échange.

    La Commission Charbonneau nous éclaire.

    Restons alerte.

    Toutes les classes de notre société québécoise ont subie les conséquences et subissent les conséquences de personnes qui devaient SERVIR l'État du Québec.

    Constatons qu'ils se sont bien SERVIS de leurs fonctions pour servir en premier lieu leur parti politique.

    Comme les groupes criminalisés qui ont subi la force de la loi pour les exclure de la société, que nous reste-t-il à faire ?

  • Défense territoriale du Québec: le document de 1975

    11 octobre 2012


    Pourquoi est-il si important, pour les soldats de se syndiquer ?

    Quels avantages profitent-ils du fait de s'organiser ensemble sous une autre enseigne que leurs corps armés?

    Combien d'années a-t-il fallu à nos vétérans tant Québécois que Canadians blessés, traumatisés, infirmes, blessures tant physiques que psychologiques avant que de voir ces réalités reconnues par, non pas seulement l'armée, mais ceux qui les engagent soit les gouvernements qui doivent assumer les coûts collatéraux de ce qui survient à nos soldats?

    Pour défendre leurs droits individuels, ils doivent affronter une armada de questionnements, de décideurs à divers palliers avant d'imaginer connaître un résulat quelqcoque.

    Le soldat, seul, dans son coin, qui doit se payer les avocats, tous ses défenseurs, alors qu'avec un syndicat organisé pour défendre tous les membres, en difficultés ou en actions, n'est-ce devenu plus qu'une nécessité?

    Pour les besoins de ceux qui vivent des situations insoutenables, vu l'expérience qui est vôtre, que suggérer à un soldat, à une famille, à un groupe de blessés, traumatisés, infirmes ou dans le besoin, que suggérer comme processus à suivre pour se protéger, s'organiser, lui et sa famille ?

    Comment met-on sur pied un «syndicat» ou un groupe pour représenter les soldats autre qu'à l'intérieur des cadres struturés de tout commandement?

    Vous le savez et combien de sldats le savent pour avoir vécu des périodes de détresses ont été laissé à eux-mêmes trop longtemps dans des situations de besoins que l'ensemble du corps constitué n'a jamais voulu asumer autrement que par des pressions individuelles qui se sont soldés trop souvent par des actes suicidaires ou autres?

    Mettre fin à cet état d'esclavage comme si, par le fait d'appartenir à l'armée, aucun droit fondamental n'existerait à ces personnes-soldats.

    Tout le monde n'a pas les mêmes forces de caractère et encore moins le savoir, les connaissances, l'«école» pour assumer des responsabilités légitimes.

    Merci à vous, d'avoir su assumer ce que vos connaissances, votre savoir, votre expérience de vie vous commandaient par vos forces intérieures et pour le service de notre État du Québec.

    Des soldats blessés, traumatisés, n'ont-ils pas attendu trop longtemps pour s'organiser jusqu'à présent.

    Assumer le présent dans une perspective d'un avenir meilleur tant pour le soldat, le vétéran, leurs familles et l'ensemble de notre société.

    Robert Bertrand
    2012-10-11

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  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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