Les vases communicants : la victoire du FN pourrait changer la donne au Québec
23 avril 2017
Avant de rêver à un changement pour le Québec, posons-nous cette question: Aimons-nous le Rock'n Roll? Une veille idée me hante. Elle concerne l'endoctrinement des foules. Sans entrer dans les détails, nous vivons à une époque qui reprend des vieux stratèges qui ont profité à des empires et des dictatures. Celle qui nous touche le plus vient du nazisme. Dans l'Extase totale (2016), Norman Ohler exploite l'usage de psychotropes pour soumettre les foules, mais pour aussi retaper Adolf Hitler, alors qu'il était épuisé. Le «Patient A» du docteur Morrel qui recevait des injections d'hormones provenant d'organes d'animaux et de vitamines, avant de toucher à des substituts de morphines et à la cocaïne. Vous cherchez un lien avec votre texte? La chute du régime nazi fut suivit par de nombreux parallélisme se liant à l'endoctrinement de la musique pop. Un docteur personnel pour Elvis, Prince et Jackson pour optimiser les performances des «Stars». Des musiciens britanniques s'approvisionnant aux mêmes laboratoires allemands que Morell. Les Beatles ressemblant, à leur début, aux soldats allemands sur la pervitine (christal meth) sans oublier un emprunt concernant le groupe Genesis; un Peter Gabriel portant des genres d'ailes de dragons ou de chauves-souris lors de spectacles (1972-74), un emprunt à une influence occulte du nazisme dont je cherche le nom. Un lien avec le texte? De plus en plus, cette tendance s'implante. Des électeurs psycho stimulés ou amorphes. Pour les politiciens, je dis pas qu'ils se droguent. Ils optent par contre pour des stratégies liées à l'endoctrinement musical. En ce sens, Macron est devenu la vedette pop de banquiers mondialistes à un point que je ne serai pas étonné qu'il nous chante All You Need is Love ou Love Me Tender. Pas étonné qu'en cas de faiblesse ou de lassitude, il soit remis sur pied par un docteur Morrel nouvelle vague pour rendre sa performance mémorable. Bref, cela pour dire que la guerre d'image nous enfonce dans le même créneau que le nazisme, sauf que cette fois on nous répète que Le Pen est de «l'extrême droite», question de tracer ligne entre elle et Hitler, alors qu'on évite de lier le mondialisme de Macron à une dictature du marché qui se forge dans l'esprit de Himmler. Ce plus américanisé des nazis souhaitait que la capitalisation de l'Allemagne puisse étendre les idéologies de domination du Reich en douceur. Est-ce le cas?