Le saviez-vous?
10 septembre 2023
Et pourquoi ces gens là vont être plus honnêtes que les gens qui nous gouvernent actuellement?
Rien prouve qu'ils seront meilleurs. Rien.
Alexandre Cormier-Denis est banni à la dernière minute
Défendre le Québécois est mal vu
Le jeu dangereux de la CAQ
Pas de répit en vue
Comment le Canada sombre vers la médiocrité
dans tous les domaines
même dans les compétences provinciales
Réponse à Gilles Verrier
Encore une fois!
Inscrire la discrimination dans la loi
L’avenir de QS est conjugué au passé.
ou comment nier la réalité
la garderie exclut de la loi 21
À quand un changement?
Toujours fâcher contre la gauche
ce que la droite refuse d’admettre
10 septembre 2023
Et pourquoi ces gens là vont être plus honnêtes que les gens qui nous gouvernent actuellement?
Rien prouve qu'ils seront meilleurs. Rien.
24 août 2023
Bonjour,
Je pense encore aujourd'hui que le fait de prendre du temps pour écrire une constitution qui reprend en gros les pouvoirs que le Québec a déjà, ne mène pas à grand chose. Je trouve qu'on tourne en rond. qu’on occupe du temps.
Par contre vous écrivez ceci que je trouve intéressant:
«Plus loin, Marc parle d’un référendum à trois options qui avait été proposé par l’économiste ex-ministre Rodrigue Tremblay en 1979, qu’il présente comme une occasion manquée. C’était peut-être l’occasion de choisir entre trois demandes, mais rien n’autorise à supposer que le ROC aurait donné au Québec ce que celui-ci aurait demandé. »
Alors là je trouve un élément intéressant. je trouve qu'il y a là, une façon d'arriver à quelque chose. Un référendum pas avec un choix de OUI ou NON, mais un référendum sur un choix de gouvernance: choix A ou choix B.
Choix A. Voulez vous que le Québec devienne un pays?
Choix B. Voulez-vous que le fédéral remettre au Québec les trois pouvoirs suivants (ex: immigrations et passeports; télécommunication, et la fin des taxes prélevées au Québec par le fédéral)?
Dans les deux cas, le Québec gagne.
D'une façon ou l'autre, le Québec en sort gagnant. Si c'est le choix A car durant la campagne le fédéral à joué la carte qu'il ne négociera pas ça, alors le Québec a accompli la mission.
Si c'est le choix B, alors là la dynamique politique joue en faveur du Québec car le fédéral sera au pied du mur.
Le fédéral peut continuer à dire non, mais les Québécois n'accepteront pas pour toujours de se faire dire non tout le temps, surtout après avoir voté OUI au choix B. La dynamique va placer le fédéral sur la défensive, pour longtemps.
Choix A ou choix B, le Québec en ressort plus fort.
Pas de constitution pour faire de l’occupationnel;
Pas de référendum avec un choix de OUI ou NON;
Mais un référendum portant sur deux nouveaux systèmes de gouvernance. Dans les deux cas, le Québec en sort plus autonome. Dans les deux cas, le Québec gagne.
C’est une façon de voir la chose…
22 août 2023
Bien beau dans un texte. Montrez-moi des cas concrets de ce que vous avancez. Qu'est-ce que le Québec a gagné dernièrement qui vous pousse à dire que cela fonctionne? Quel gain le Québec a réussi à faire selon cette technique?
21 août 2023
Bonjour,
Toujours facile de juger les actes d'un parti après. Mais lorsque ces geswtes ont été posés, c'était la meilleur façon d'y arriver. Quand on cite Daniel Johnson, je veux bien, mais on doit dire que son passage fut court et jamais personne par la suite à tenté de mettre à l'épreuve de sa théorie. D'ailleurs je ne vois nul part au monde des résultats d'une telle stratégie.
Nommez-nous des pays qui ont réussi ce tout de force.
Nommez-nous des pays qui ont résussi à se former sans une guerre, un coup d'état ou une consultation populaire du référendum.
Je veux bien, mais vous aussi soyez réaliste.
6 août 2023
«Maurice Lamontagne qui finissait son plaidoyer pour le fédéralisme canadien en ces termes:
«C’est en s’aidant l’une l’autre et en se supportant mutuellement que les deux cultures du Canada pourront le mieux se préserver du danger de l’américanisation.»
Voilà exactement pourquoi nous n'avons pas notre place dans ce pays canadien; nous on pense ça, cette ouverture, mais l'autre l'anglophone, lui, ne pense pas ça. Lui voit son peuple d'abord et joignez-vous à nous, point final. Il est là l'essentiel de l'échec du fédéralisme . On se fait des à croire pendant que l'autre ne veut même pas parler avec nous, sauf pour nous dire de se conformer à eux. Les plus grandes pensées philosophique de paix ne peut rien contre ce non-dialogue.
6 août 2023
Texte très intéressant.
Une question comme ça, pourquoi faut-il une constitution?
L'Angleterre n'en a pas et pourtant ce pays existe depuis fort longtemps, non?
11 juillet 2023
«Je ne partage pas avec vous l’idée que la loi sur la laïcité soit partie intégrale de notre constitution : c’est une très mauvaise loi. Il suffirait que notre constitution proclame que le Québec est un état laïc dans ses institutions publiques : chaque personne est libre de croire et d’observer ses rites religieux, nul ne peut imposer de dogmes religieux, ni l’état. L’intelligence humaine, aussi faillible soit-elle, est au-dessus de toutes croyances.»
La loi sur la laïcité est une excellente loi. Malheureusement elle ne va pas assez loin. Cette loi devrait s’appliquer partout dans chaque sphère de la société. Il est pas normal voir même souhaitable que des éducatrices, en garderie, utilisent des symboles religieux pour mouler des enfants de bas âges pour adapter les rites et coutumes et croyances d’une religion plus qu’une autre. Il n’est pas normal lorsque je vais me procurer un chandail dans une boutique que je sois confronté à un visuel d’une religion en particulier. Il n’est pas normal d’accepter que des femmes soit forcées de porter un signe religieux souvent à cause du mari, de la famille ou de la communauté. Ceci n’est pas de la laïcité. Les gens de cette communauté doivent faire l’effort de respecter la communauté d’accueil, les Québécois. Oui, chaque personne est libre de croire et d’observer ses rites religieux…chez eux ou dans un temple voué à cette effet. Pas dans la face de tous pour narguer les autres.
«Quant au pouvoir policier, sera-t-il nécessaire qu’il soit armé? Si nous voulons prioriser la paix, ce serait bien de penser un pouvoir policier désarmé.»
Même les «bobbies» de Londres sont aujourd’hui armés. Il n’y a nul part sur terre ou on n’arme pas les policiers. On ne vit pas dans un paradis idyllique.
«Dans votre réponse à M. Bélair, vous précisez un ordre social; il y a une intention douteuse quant aux juges : je pense qu’ils doivent interpréter et appliquer les lois votées; il faudrait donc qu’une cour de deuxième palier puisse interpréter l’application qu’en auront faite des juges de premier palier. L’humain étant imparfait, il y aura toujours matière à amélioration, n’est-ce pas?»
Parfois vous êtes difficile à suivre. D’une part vous dites à tous, faites ce que vous voulez pour vos accoutrements religieux; vous dites que les policiers devraient être que des décorations patrouillant sans arme et ensuite vous utilisez la matraque pour contraindre les juges d’agir? Une fois que le juge à rendu un véridique, il suffit aux élus de voter une nouvelle loi pour clarifier des points qu’ils veulent clarifier. Il ne suffit pas d’ajouter plus de niveaux de cours supérieur.
6 juillet 2023
Très intéressant. De voir l’idée même d’une constitution refaire surface après une longue absence depuis le temps de Johnson, fait renaître l’idée d’identifier qui nous sommes, de comment nous voulons vivre.
Mais qui décide de son contenu? Comment faire pour éviter des pièges, du type le 2ème amendement américain qui divise , qui seront inscrit pour longtemps avec peu de chance d’être abroger?
Non seulement la constitution émet les droits (et responsabilités) des citoyens mais clarifier le fonctionnement de la nouvelle entité politique que sera le parlement et le rôle du président.
Peut-on avoir un système républicain à l’intérieur du Canada?
La nation elle sera française, mais à quel niveau? Doit-on encore garantir des droits à la communauté anglophone? Si oui, pour toujours? Qui va définir ces droits?
Quand vous dites: «La constitution devrait aussi contenir une clause de primauté des élus de l’Assemblée nationale sur le « gouvernement des juges »
Et je peux retourner l’affirmation de bord et dire; si c’est les élus qui au final décident, alors à quoi bon avoir des juges? Ils servent à quoi, si leurs décisions peuvent en tout moment être renverser? Israël vit ça présentement. Je crois que c’est plus un code de conduite avec limite de termes qui doit guider les juges, plus qu’aux simples députés de décider la finalité de la légalité d’une loi.
La finalité d’un constitution du Québec est souhaitable, mais demeure le problème de la constitution canadienne qui me semble sera toujours la finalité de référence tant et aussi longtemps que nous sommes dans le Canada, non?
Et finalement la Charte, à oui la fameuse Charte des droits et sans responsabilités. Celle qui nous empêche de respirer au rythme que nous décidons. La Charte qui depuis toujours est un frein à toute initiative moindrement hors-norme. Elle se ramasse où la Charte dans le dessin d’une constitution québécoise? La constitution se réfère à la Charte ou le contraire? La quelle à le dernier mot? Est-elle incluse dans la constitution? Si oui, nous ne faisons que répliquer ce qui existe déjà au niveau fédéral.
Et si nous enlevons tout simplement cette Charte belliqueuse?
Je me souviens des tentative de Daniel Turp et ses tentatives de faire avancer l’idée d’une constitution. Les points que je soulève étaient aussi sans réponses réelles, à l’époque.
Sommes-nous plus équipé pour faire ce travail aujourd’hui?
5 juillet 2023
Bonjour M. Champoux,
Je vous remercie sincèrement de partager votre réflexion. C'est libérateur de vous lire.
Normand Bélair
2 juillet 2023
Corrections des numéros de lois, pour vous M. Labrie...
25 juin 2023
Bonjour,
Dans votre premier paragraphe vous parlez de la précision de la langue française. Et pourtant dans la même phrase vous dites deux choses différentes:
« Comme le français est une langue de précision et de clarté, il a fallu nous distinguer des usurpateurs par l’ajout d’une caractéristique unique à Canadiens, d'où Canadien français. »
Le français est langue de précision est vous écrivez il a fallu… C’est qui ça «il»? Faites vous référence à nous les Canadiens? Ou au contraire le «il» fait référence au conquérant, les Anglais? Autant que vous vantez les mérites de la précision du français, vous restez vaque sur l’utilisation du «il». La clarté du français n’est pas exclusif. L’anglais aussi peut être précis. d’ailleurs n’est-ce pas en anglais qu’apparait pour la première fois le terme «French Canadian»?
Dans votre deuxième paragraphe vous faites de fausses présomptions pour aboutir à une conclusion qui n’est pas le reflet de la réalité Vous avancez incorrectement que c’est le référendum qui a imposé le terme Québécois alors qu’il était présent bien avant la consultation populaire de 1980. Le terme a pris moins de 10 ans à s’imposer de lui-même de 1959 à 1969. C’est durant cette période le nominatif québécois est devenu usage commun. La mort de Duplessis a mis un terme à la pensée du peuple conquis et soumis pour un d’épanouissement et d’ouverture au monde.
Et vous terminez avec un faux argumentaire. Nos ancêtres les Canadiens français faisait la même erreur. Nommer un opposé à nous en utilisant le terme Canadien anglais, et vous en utilisant le Québécois anglophone alors qu’aucun de ces deux termes existe et n’a jamais été utilisé par ces deux communautés. Les anglophones n’ont jamais utilisé autre chose que «Canadian» C’est un faux débat de vouloir catégoriser une communauté qui se nomme pas comme vous citez.
22 juin 2023
Bonjour,
Vous avez raison de vouloir le bien sur terre, la paix. Vous avez raison de vouloir espérer que ceci se produise un jour. personne n'est contre la vertu.
Vous connaissez l'expression:
Si tu veux la paix, prépare la guerre?
c'est exactement ça avec la laïcité :
Tu veux absence de signe religieux?
Prépare ta loi.
L'animal qu'on ose appeler «humain» n'est que hypocrite, manipulateur, menteur, cruel et guerrier. L'histoire nous démontre que l'humain est comme ça.
Si c'était le contraire, et bien il n'y aurait même pas une seule loi pour nous faire vivre en société. Aucune! Mais le paradis n'est pas de ce monde. Alors même avec toutes les bonnes intentions de Chartes internationales ayant toutes de grandes intentions, la réalité est toute autre et commande des lois pour gérer nos sociétés .
Au Québec, on n'est pas plus spécial, pas plus différents que les autres. Malgré toutes les bonnes intentions que l'on peut trouver au peuple, dans la réalité, c'est qu'on doit gérer le tout avec des lois.
Vous nous avez cité un cas de récitation de prière au conseil de ville...moi je vous cite le cas de femmes voilées à la garderie qui mettent de la pression sur des petits enfants d'origine arabe pour qu'elles portent toujours le voile! Imaginez, elle ont 3,4,5 ans et on impose une religion de force? Et il ne faut pas de loi, vous dites? Juste une prière et elles vont se conformer?
Donc si vous êtes POUR la laïcité, dans notre monde actuel, il n'a pas d'autre choix, que d'avoir une loi pour que la laïcité soit suivie par ...tous!