Mais où sont les néonazis?
16 avril 2022
Il ne faut pas minimiser le pourcentage de néo-nazis en Ukraine :
« Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, Staline a ajouté à la RSS d’Ukraine une zone fortement balkanisée plus à l’ouest, qui faisait partie de l’Autriche-Hongrie et était habitée par des Roumains, des Hongrois, des Allemands, des Russes, des Tsiganes, des Polonais et diverses petites tribus slaves. C’est de cette région qu’est issu le nationalisme ukrainien, dans sa forme actuelle, et c’est à partir des dialectes villageois parlés dans cette région que la langue ukrainienne officielle, aujourd’hui enseignée dans les écoles de toute l’Ukraine, a été artificiellement synthétisée à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. » (https://lesakerfrancophone.fr/ukraine-juste-les-faits, Dimitry Orlov).
Les communistes ont encouragé le nationalisme ukrainien pour faire contrepoids au nationalisme russe et favoriser l’internationalisme communiste.
« Ce qui s’est passé depuis le Maïdan, c’est que la CIA s’est concentrée sur l’incitation à la haine anti-russe par tous les groupes marginaux qu’elle pouvait instrumentaliser. » (https://reseauinternational.net/rendre-le-nazisme-grand-a-nouveau/, Pepe Escobar).
L’Ukraine est un état failli, son gouvernement fantoche sous contrôle américain :
« Politiquement, l’Ukraine (ce qu’il en reste) est un machin américain. Son attribution aux États-Unis est difficile à contester : son gouvernement est contrôlé depuis l’ambassade américaine à Kiev (ou est-ce Lvov maintenant ?) et ses forces armées sont directement contrôlées depuis le Pentagone sur la base de données de télédétection et de rapports de terrain d’officiers US/OTAN intégrés. » (Orlov, article cité)