On peut estimer conservativement à entre un quart et un demi-million le surplus d'immigrants récents au Québec qui surchargent et font déborder tout le système:
- Le système de santé est engorgé plus que jamais, les hôpitaux sont pleins, les listes d'attente s'allongent pour les faire passer avant nous, alors que nous devons attendre plus longtemps notre tour avant d'être soignés ou opérés, allongeant nos souffrances, et réduisant d'autant nos chances de guérison.
- Les écoles reçoivent 250 nouveaux élèves par semaine parachutés de l'étranger qui nécessitent toutes sortes d'attentions particulières, soit des milliers par année, limitant par conséquent les disponibilités et le temps consacré à nos propres enfants aux besoins spécifiques. Les écoles montréalaises doivent non seulement faire face à la pénurie de personnel comme partout ailleurs en province, mais elles ont un défi supplémentaire : il y a environ deux fois plus d'élèves inscrits dans les classes d'accueil pour la rentrée scolaire. Mais comme les élèves issus de l'immigration s'ajoutent tout au long de l'année, contrairement aux classes ordinaires, on s'inquiète des mois à venir, tout particulièrement au niveau secondaire.
On n'avait jamais vu ça par le passé. On a des inscriptions d'à peu près 250 élèves par semaine, c'est presque une école par semaine qu'on ouvre
, explique le directeur du service de l'organisation scolaire au Centre de services scolaire de Montréal (CSSDM), Mathieu Desjardins.
Plus de 4400 élèves actuellement inscrits en classe d'accueil. Ces élèves-là ont aussi besoin de professionnels en psychoéducation, en psychologie, et des techniciens en éducation spécialisée, par exemple.
Source: Un nombre record d’inscriptions d’élèves issus de l’immigration à Montréal, ça déborde! - Le surnombre d'immigrés cause une grave pénurie de logements réguliers et de logements sociaux conçus en principe pour les nôtres. On n'est pas un refuge universel pour le tiers-monde. Avec pour résultat net la flambée du coût des loyers dont nous faisons tous les frais. De plus, cela entraîne la détérioration observable des logements et l'insalubrité conséquente. Des gens qui n'ont connu que les bidonvilles de cabanes de tôle et des huttes dans la savane continuent de vivre au même bas niveau. Montréal est sale et se détériore, croulant sous les immondices à l'image du tiers-monde.
- Le surnombre d'immigrés et d'investisseurs étrangers spéculateurs causent la bulle immobilière actuelle, exacerbée par l'augmentation des taux d'intérêts qui étouffent les jeunes ménages québécois, et qui empêcheront la prochaine génération d'accéder à la propriété.
- Les migrants illégaux illettrés et sans diplôme, les demandeurs d'asile fraudeurs, les faux-réfugiés sans scrupule (40 000 au Québec) coûtent 362 millions de dollars par année aux Québécois en prestations d'aide sociale gratuite. Imaginez l'aubaine: partir de pays de misère où l'aide sociale ou l'assurance-salaire n'existent même pas pour venir se faire dorloter dès l'arrivée en se faisant prendre en charge à vie gratuitement! Plusieurs d'entre eux se font héberger à l'hôtel à nos frais! Le grand luxe, quoi! Ces sommes pharamineuses gaspillées par millions en pure perte pourraient servir à bâtir un hôpital par année, une école, un pont, une autoroute, une ligne du métro prolongée, mille projets urgents et prioritaires dont notre société a besoin mais qui doivent être reportés ou pire, ne jamais voir le jour.
- La présence de tant de sans-papiers illégaux qui errent et rôdent en liberté, cause de l'insécurité générale dans la population, suscite le sentiment bien fondé mais combien malaisant de ne plus être chez soi, donne l'impression d'être entouré de mines patibulaires aux regards hostiles, produisant un surnombre qui se rabat sur l'anglais, tout cela provoquant en fait exactement le contraire de l'harmonie sociale recherchée par les gens d'ici. Ce n'est pas pour rien que la criminalité et la violence augmentent proportionnellement au rythme des arrivages dépareillés du tiers-monde sous-civilisé où la violence et la corruption règnent en maîtres.
- Les plus récentes statistiques révèlent que les banques alimentaires se voient pillées à 95% par des hordes d'étrangers profiteurs non-nés ici, au lieu de servir à nos propres démunis.
- Même nos refuges d'itinérants et de personnes en difficulté deviennent leur cible, ainsi que tous les organismes de charité publique dont ils savent tout soutirer à leur avantage.
Ci-dessus: toutes les populations s'opposent à la sur-immigration
Ci-dessus: Sondage Léger: 44% des Québécois veulent arrêter l’immigration ou la diminuer, soit près de 1 sur 2, un chiffre en augmentation constante
La seule solution à ce problème aigu de sur-immigration mal calibrée qui doit être réglé rapidement est une relocalisation de ces centaines de milliers d'étrangers inadéquats reçus en trop ailleurs au pays.
1- Des programmes gouvernementaux comme le remboursement de frais de déplacement sont devenus impératifs dans le but de faciliter la transition rendue nécessaire si on veut alléger l'énorme fardeau social qu'ils occasionnent.
2- De son côté, la saine réaction citoyenne à ce marasme inacceptable consisterait à exercer les pressions requises pour y arriver et faire passer le message aux intéressés.
Il est clair que la population du Québec ne veut plus rien savoir d'une telle situation déséquilibrante et désastreuse au possible. Mais qui parmi la classe politique actuelle aura le courage d'y remédier?
Tout déborde, tout s'écroule.Au secours!
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3 commentaires
Réjean Labrie Répondre
27 octobre 2023Devant la réalilté de la surimmigration aux conséquences désastreuses, le premier ministre JustinTrudeau doit reconsidérer les objectifs exagérés de son parti.
La crise du logement a jeté un nouvel éclairage sur la question de l’immigration au pays. Des économistes sont d’avis qu’Ottawa devrait réduire ses cibles d’immigration.
Autour de la table du Conseil des ministres, les points de vue divergent. Certains militent pour une réduction, alors que d'autres prônent le statu quo. Selon certaines sources, une augmentation des cibles ne ferait pas partie des options. Il commence à être temps qu'on comprenne.
Avec la pénurie de logements qui sévit partout au pays et la capacité des provinces d’intégrer et d'offrir tous les services aux nouveaux arrivants, il est difficile d’envisager une augmentation.
"Il faut que ce soit fait correctement. On n’est pas aveugles : ça prend des logements, ça prend des services." (une citation d'un élu libéral sous le couvert de l'anonymat).
Comme on le sait, beaucoup trop d'immigrants sont avides du "donnez-nous toute gratis": logements sociaux, prestations d'aide sociale, soins de santé, traitements et opérations, pillage des banques alimentaires, etc.
À lire: 95% des pilleurs de banques alimentaires ne sont pas nés ici
Bien des députés sont conscients de la folie des quotas, mais ils préfèrent se taire. Quelle honte!
Source: Enfin, Ottawa envisage de plafonner sa cible d’immigration
Pour que le Parti libéral canadien commence à réviser ses positions extrêmes, il faut vraiment que la situation de la surimmigration se soit détériorée gravement. Tout cela est de leur faute. Il faut les en punir en ne les réélisant plus jamais.
Un Québec indépendant saura mieux gérer la question de l'immigration en se montrant plus sélectif et en imposant des quotas plus réalistes, comme 25 000 immigrants pas année maximum.
À lire: Le Bloc québécois défend nos intérêts en matière d'immigration
Réjean Labrie Répondre
12 octobre 2023La situation des migrants illégaux au Québec qui siphonnent toutes nos ressources empire.
Le Journal de Montréal rapporte:
L’augmentation massive du nombre de demandeurs d’asile au Québec a pratiquement fait tripler, en un an, les dépenses en aide sociale liées à leur accueil. Préoccupé, le gouvernement Legault somme le fédéral de payer la facture.
Selon un document interne du ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale consulté par l’Agence QMI, 40 142 des 273 305 des adultes ayant reçu en juin dernier une aide de dernier recours de la part du gouvernement du Québec – soit environ 14,6% – étaient des demandeurs d’asile.
Malgré un ralentissement depuis la fermeture du chemin Roxham en mars dernier, cela représente une véritable explosion par rapport aux années précédentes. À pareille date l’an dernier, 17 544 demandeurs d’asile recevaient de l’aide sociale, et seulement 7429 en juin 2021.
«Ce qui se passe en ce moment, c’est que pour une personne qui sort de l’aide sociale au Québec, il y a 10 réfugiés qui rentrent sur le programme», illustre une source gouvernementale.
Le stress occasionné par cette augmentation sur les ressources financières du programme d’aide sociale est considérable: les dépenses supplémentaires encourues par les sommes versées aux réfugiés en aide de dernier recours sont passées, pendant la même période, de 12,1 millions $ mensuellement à 30,5 millions $.
Selon les plus récentes données de Statistique Canada, le Québec accueille 147 000 des 260 000 réfugiés au pays, soit 57% du total canadien, alors même que le poids démographique du Québec dans la fédération n’est que de 22,2%.
Prestations d’aide sociale versées à des demandeurs d’asile
Juin 2017: 2 616 742 $
Juin 2018: 6 723 869 $
Juin 2019: 7 316 975 $
Juin 2020: 9 905 664 $
Juin 2021: 5 474 411 $
Juin 2022: 12 064 994 $
Juin 2023: 30 479 406 $
Proportion des demandeurs d’asile prestataires d’aide sociale
Juin 2017: 1,2%
Juin 2018: 3,2%
Juin 2019: 4%
Juin 2020: 4,9%
Juin 2021: 3%
Juin 2022: 6,8%
Juin 2023: 14,6%
Source: Document interne du ministère de l’Emploi et de la Sécurité sociale
Source: Explosion du nombre de demandeurs d’asile illégaux sur l’aide sociale
Ces migrants malhonnêtes et profiteurs sont en train de nous ruiner et de laisser pour compte nos propres démunis.
Réjean Labrie Répondre
27 septembre 2023L'immigration déferlante augmente à une vitesse affolante, surtout chez les irréguliers et les illégaux.
Le Québec affiche un décompte de 146 723 demandeurs d’asile présents sur le territoire en juillet dernier, une proportion représentant 31 % de tous les résidents non permanents.
Il y a 470 976 résidents non permanents au Québec, un demi-million d'étrangers qui circulent dans nos rues et profitent à plein régime des services publics qui n'existent pas chez eux.
Ça fait beaucoup de monde à faire vivre avec l'aide sociale, les soins de santé gratuits, le logement, etc.
La ministre Fréchette a déploré que le Québec continue d’accueillir « une part trop importante » des demandes d’asile au Canada, malgré la fermeture du chemin Roxham. « Alors, nous, on demande que le fédéral s’assure qu’il y ait un accueil équitable entre l’ensemble des provinces », a-t-elle dit.
La nouvelle arnaque qui marche à fond: plusieurs étrangers détenant des visas temporaires arrivent avec l’espoir de devenir résident permanent. L’immigration à « deux étapes » est ainsi en voie de devenir la norme partout au pays. On trouve le moyen de contourner lois et règlements.
À un moment donné, trop, c'est trop.
D'autres statistiques sidérantes: un demi-million de résidents non permanents au Québec, le déluge migratoire